+ rappel de la LDH le 30/1/17 LDH 31 JANVIER 2017 : 22E RAPPORT SUR L'ETAT DU MAL-LOGEMENT DE LA FONDATION.
Quinzaine des Solidarités 2e quinzaine de novembre 2023
Réunions de préparation ce printemps à Orsay MJC et aux Ulis,
avec Collectif Solidarités UAU qui s'est réuni le mercredi 14 juin, en septembre et en octobre
6e Festival des solidarités sur Les Ulis-2023
Dans le cadre du Festival des Solidarités 2023, du mercredi 15 novembre au vendredi 1er décembre 2023,
pour la 6ème année consécutive, les associations des Ulis organisent une soirée
vendredi 24 novembre de 19h à 22h30 à la Mpt des Amonts sur le thème
«Solidarité et Logement, quelles solutions pour accéder au droit au logement»
avec 2 tables rondes-débats, témoignages d’associations et de personnes concernées, échanges :
- sur les logements d'urgence
- sur des solutions alternatives à plus long terme
Les témoignages cibleront les différents publics : demandeurs d’emploi, immigrés, personnes en situation de handicap,, étudiants et personnes à faible revenu.
Une exposition avec des informations des associations permettra de se documenter.
N’hésitez pas à contacter par courriel Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Organisation par l’UAU (Union des Associations des Ulis)
infos sur l’ensemble du programme du Festisol Orsay Les Ulis : site Mairie Orsay et site UAU
xx Vous vous souvenez de la diffusion du documentaire "Hébron-Palestine, la fabrique de l'occupation" le 23 avril sur France 5.
Un documentaire remarquable, malheureusement diffusé à une heure un peu tardive.
Une projection publique du documentaire en version "longue"(80mn)aura lieu mardi13 juin à 18h30 au Maltais rouge, 40 rue de Malte,75011 Paris
organisée par l'ITS (Institut Tribune Socialiste), le CEDETIM, l'AFPS et Temps Noir (la société de production de ce film)
18h30 : accueil, présentation du film par Serge Gordey, co-producteur du film
19h : projection du film
20h20 débat avec la participation de Dominique Vidal, historien et essayiste et Bertrand Heilbronn, président de l'AFPS
Rassemblement mardi 14 février de 13h à 16h,Place Édouard Herriot, près de l’Assemblée Nationale à Paris. Exigeons la protection du peuple palestinien,la fin de la politique d’apartheid de l’État israélien, et la fin de l’impunité d’Israël.
le 26 novembre / spectacle Professeyr X, suivie d'un débat; à la MPT de Courdimanche et Stand au Village des possibles
infos CD 9128/9/22 :
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Avec la Préfecture d'Ile-de-France, le Conseil Départemental de l’Essonne et ses partenaires, organisent du 10 au 14 octobre 2022, une "Semaine de l'attractivité des métiers de la solidarité"...
Au programme :
9h30 - 11h Table ronde: Comment rendre la République plus juste et plus fraternelle ?
Avec Alain Caillé, P. Jean-Baptiste Arnaud, Jean-Christophe Fromantin
11h30 - 13h Table ronde: peut-on encore réenchanter la campagne des présidentielles ?
Avec Emmanuel Echivard, Grégoire Roos, Véronique Francou
14h30 - 16h Table ronde: Comment se montrer fraternels avec et à partir des personnes ayant l'expérience de la pauvreté ?
Avec Véronique Devise, Patricia McDwyer-Wendzinski
16h30 - 18h Table ronde: Comment se montrer fraternels avec les personnes les plus vulnérables ?
Avec Marie-Aleth Grard, Diane d’Audiffret, Damien Carême
Entrée gratuite mais inscription obligatoire. Informations et inscriptions >>>
CD91- 19/1/22 À bonne école… |
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témoignages d'associations menant des actions de solidarités avec les enfants à l'international et localement avec des enfants en situation de handicaps débats;
infos pratiques : entrée libre, gratuit, tout public.
Vous souhaitez vous informer, rencontrer ces associations ; alors cette rencontre est pour vous ; une douzaine d’associations partageront leurs expériences.
Celles qui présenteront leurs actions à l’international :seront en autre Kama World Musik au Cameroun, Appel Détresse au Togo et de Madagascar
ACPRC Association Coup de Pouce Rural et citadine au Cameroun, Les Petits Trésors des Philippines, Comité de Jumelage des Ulis avec Sedhiou au Sénégal ,
Dogondoutchi d’Orsay avec le Niger, RINNA avec la Côte d’Ivoire, le CCFD-Terres solidaires avec la République Démocratique du Congo.
Bleu Soleil et Détours interviendront au titre des associations de solidarités locales agissant aux Ulis sur la solidarité avec les enfants en situation de handicap,
Solidarité Nouvelles pour le Logement parleront des actions avec les enfants de familles en difficultés vous aussi vous pouvez être acteur en contribuant à ces actions.
Et expostion du 19 au 27 novembre sur les actions de ces associations
reportée au printemps le samedi 29 mai 2021
Les Solidarités alimentaires durables, localement et à l’international, avec plusieurs partenaires
Lettre Infos CD91 du 10/2/21Appel à coups de mains pour la récup et redistribution alimentaire |
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À Saulx-les-Chartreux, Animatk recherche des bénévoles pour assurer, en autre, la distribution des fruits et légumes les mardis et mercredis matin...
Après les annonces gouvernementales du 20 août 2020, le Département de l’Essonne a pris l'initiative de financer
et de fournir gratuitement cinq masques en tissu lavable à chaque collégien de l’Essonne.
Une garantie essentielle pour les protéger au mieux lors de cette rentrée.
de nombreuse actions de solidarités continuent ou s'organisent sur les Ulis, en particulier avec les associations qui le peuvent,
la ville des Ulis, la CPS ou le département avec le CD91
- Solidarités locales, autour du Sofhesu, en lien avec les assocaitions Ensemble pour la Solidarité et Youssef Nazario,
pour les denrées de 1ère nécessité pour les résidents de l’hôtel « social » : aide avec Croix Rouge et Secours Populaire, apports d’aliments et produits pour bébés :
Vous trouverez ci-dessous l'appel aux manifestations du 20 juin: "Si le pouvoir n'entend pas, il faut crier plus fort !".
Nous invitons toutes les structures qui avaient signé l'appel au 30 mai ou ne l'avaient pas fait à signer cet appel et à participer à la mobilisation pour le samedi 20 juin. L'enjeu et bien d'être encore plus nombreuses et nombreux pour obliger le gouvernement à répondre.
Une première date pour une liste de premiers signataires est fixée au jeudi 11 juin à 20H00 pour un tract qui sera diffusé ce week-end. Envoyez votre signature à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser." style="font-size:10.5pt;color:blue" moz-do-not-send="true">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.<mailto:Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.>
Cet appel s'inscrit par ailleurs dans le cadre de la campagne "Régularisation !" où la Marche des Solidarités s'associe avec d'autres appels lancés pendant la période du confinement pour une régularisation globale et pérenne (ANVITA, CIELE, Collectif Interorga de Rennes, EGM, Marche des Solidarités, Modus Operandi, RUSF38).
Texte (disponible aussi sur https://blogs.mediapart.fr/marche-des-solidarites/blog/090620/20-juin-plus-nombreux-et-nombreuses-encore-avec-les-sans-papiers<https://blogs.mediapart.fr/marche-des-solidarites/blog/090620/20-juin-plus-nombreux-et-nombreuses-encore-avec-les-sans-papiers:> ) :
Sans-Papiers : si le pouvoir n’entend pas il faut crier plus fort !
Les Sans-Papiers et migrantEs ont été en première ligne pendant la crise, exploitéEs dans les pires des conditions dans des secteurs qui ont continué à tourner (nettoyage, livraison, bâtiment, service à la personne, restauration…) ou perdant leur emploi sans chômage partiel, retenuEs dans les CRA, vivant à la rue ou hébergéEs dans des hébergements souvent précaires et insalubres.
Le refus du pouvoir de régulariser touTes les Sans-Papiers pour leur donner accès aux droits et conditions permettant de lutter contre la propagation du virus, de fermer les Centres de rétention et de réquisitionner bâtiments et logements vides pour loger touTEs les sans-abris et mal-logéEs a mis en évidence l’hypocrisie de ses discours « sanitaires ». Avec sa volonté d’ignorer leur contribution au travail qui a permis pendant cette période de crise sanitaire et permet tous les jours à ce pays de fonctionner, il laisse volontairement les sans-papiers exploité-es, sans droits, dans une situation d’inégalité et d'injustice totale.
La crise a pourtant montré que ces mesures de justice et d’égalité étaient aussi des mesures indispensables pour construire une société plus solidaire et plus sûre y compris sur le plan sanitaire.
Le 30 mai à Paris, et dans plus d’une dizaine d’autres villes, des milliers de Sans-Papiers ont été en première ligne de la lutte contre les atteintes aux libertés au nom de « l’urgence sanitaire ». Ils et elles ont bravé l’interdiction de manifester aux côtés de soutiens pour demander leur régularisation. Mais aucune réponse n’est venue. Alors si le pouvoir n’entend pas, il faut crier plus fort ! C’est pour cette raison que nous appelons à manifester plus nombreuses et plus nombreux le 20 juin dans tout le pays !
Pour la régularisation de touTEs les Sans-Papiers et MigrantEs, la fermeture des CRA et le logement pour touTes ! Pour l’égalité des droits et la fin des discriminations ! Pour la liberté !
++++ ASTI le 5/6/2020 : Ces dernières semaines, beaucoup d’entre nous se sont mobilisé-e-s pour la régularisation pérenne, inconditionnelle et immédiate des personnes sans-papiers. La lutte continue !
Le Mouvement des ASTI est investi dans 2 collectifs qui, en ce moment, se mobilisent fortement autour de cette revendication : la Marche des Solidarités (qui a organisé une manifestation le 30 mai dernier avec une forte participation des personnes sans-papiers) et les Etats Généraux des Migrations.
Ces deux collectifs font à présent « convergence » avec d’autres (Collège Maurice Scève et CIELE de Lyon, Modus Operandi Grenoble et RUSF 38, Anvita, Inter-orga de Rennes) afin de faire « masse » et de porter le plus collectivement possible une campagne nationale sur cette revendication (voir le communiqué). Les premières étapes de cette campagne sont les suivantes :
- le 20 juin : nouvelle journée de manifestations dans les rues, partout sur le territoire. N’hésitez pas à nous contacter à ce sujet et/ou nous faire part de vos initiatives, dans vos ASTI et/ou avec vos partenaires. L’idée est de faire plus fort encore que le 30 mai !
- en amont le 13 juin : journée de mobilisations virtuelles et locales à travers l’organisation d’une conférence presse en ligne, le relai de messages/visuels sur les réseaux sociaux et ailleurs (grâce à une boite à outils envoyée au préalable aux associations) et le relai de l’appel à la journée de manifestations du 20 juin.
Dès que nous aurons plus d’informations sur ces deux journées, nous vous les relaierons. Solidairement, La FASTI
++ASTI les Ulis 7/5/2020
Les Etats Généraux des Migrations vous remercient pour votre soutien dans l’envoi de l’appel à la régularisation de toutes les personnes sans-papiers au Président de la République : vous avez été nombreux à nous répondre en un temps très court !
La lettre ouverte a été envoyée au cabinet d’Emmanuel Macron, ainsi qu’à l’ensemble des parlementaires. Elle a été diffusée dans les réseaux des Etats Généraux des Migrations, ainsi que sur notre site web. 317 signatures ont été récoltées au moment de l’envoi, et 68 structures ont manifesté leur soutien depuis. La lettre ouverte, ainsi que la liste complète des signataires et soutiens, sont disponibles ici.
Un communiqué de presse a par ailleurs été diffusé à plus de 200 journalistes. Il est en ligne sur le site des EGM.
Un article du journal Le Monde en date 5 mai 2020 fait notamment référence à cette large initiative collective.
Enfin, les EGM ont également proposé un modèle de courrier à l’attention des préfectures, dont chacun.e d’entre vous peut s’emparer pour interpeller, sur le même sujet, les autorités de son département.
De nouveau, nous vous remercions pour votre soutien et votre réactivité. Pour les Etats Généraux des Migrations,
++ ASTI les Ulis 5/5/2020 : Lettre ouverte : 317 associations et collectifs interpellent le Président de la République pour la régularisation de toutes les personnes sans-papiers Voir en pièce jointe https://eg-migrations.org/Lettre-ouverte-317-associations-et-collectifs-interpellent-le-President-de-la
++ 7/5/20 : Observatoire du CRA Palaiseau et ASTI des Ulis :ci-joint la version amendée de la lettre adressée au Ministre de l’intérieur et au Préfet de l'Essonne concernant les CRAs et en particulier celui de Palaiseau. Elle réclame la non-réouverture de ces CRAs dans la période de deconfinement et au-delà.
Nous vous demandons de répondre de manière urgente si vous êtes d'accord pour la signature de votre organisation, car elle doit parvenir avant lundi 11 mai, et donc doit être envoyée au plus tard ce soir avant le week-end. Nous aurions souhaité donner plus de temps mais il semble qu'il n'y ait pas eu moyen de faire une télé-réunion en début de semaine.
Solidairement. Claude et Robi Peschanski pour l'Observatoire Citoyen du CRA de Palaiseau
Monsieur le Ministre de l'Intérieur, Monsieur le Préfet, Palaiseau le 7 mai 2020
Les associations signataires attirent votre attention sur la situation nouvelle créée par la pandémie du COVID-19 en ce qui concerne les Centres de Rétention Administrative, notamment celui de Palaiseau dans notre département, durant la période prochaine dite de déconfinement.
Dans une lettre à vous, adressée le 18 mars dernier, l'Observatoire Citoyen du CRA de Palaiseau vous signalait que les prescriptions du ministère de la santé ne pouvaient pas être respectées dans ce lieu de promiscuité, qu'il s'agisse de la "distanciation sociale" ou des gestes barrières. Les retenus étaient en situation de détresse. L’association vous demandait la libération immédiate de tous les retenus et du centre de rétention durant la crise épidémique. C’est finalement à la suite de nombreux recours juridiques que la majorité des retenus ont pu être libérés, sauf deux d’entre eux qui ont été transférés au CRA du Mesnil-Amelot en Seine-Saint-Denis. Nous pensons que ces libérations étaient une mesure de bon sens qui aurait dû être prise pour tous les centres de rétention.
En ce qui concerne la période dite de déconfinement progressif à partir du 11 mai 2020, un retour à la situation antérieure à la crise sanitaire nous paraît inconcevable. En effet, les incertitudes sur l’avenir de la pandémie perdurent et les risques de contaminations restent particulièrement importants pour des personnes qui seraient de nouveau placées dans un lieu d’enfermement, propice à une propagation rapide du virus. De plus, les mesures d’expulsion des personnes étrangères sans-papiers ne pourront être exécutées faute de vols disponibles ou d’accords des pays de renvoi. Cela prive la rétention administrative de base légale.
Nous rejoignons les avis de l’Observatoire de l’Enfermement des Etrangers (communiqué du 16 avril 2020) et du Défenseur des droits (décision n°2020-96 du 17 avril 2020) et vous demandons instamment :
- de ne pas reprendre l'enfermement des personnes étrangères dans les Centres de Rétention Administrative et en particulier dans celui de Palaiseau,
- de fermer les centres de rétention administratives .
Nous faisons appel à votre compréhension de la gravité de la période exceptionnelle que nous traversons, pour répondre positivement à notre demande,
Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre de l’Intérieur, Monsieur le Préfet, en l'expression de notre considération distinguée
++ ASTI les Ulis 26.04.2020 Covid-19 : le droit d’asile « gelé »
Le contexte sanitaire a servi de justification aux atteintes au droit d’asile. Des atteintes inédites sur tout le territoire, à commencer par la possibilité de faire enregistrer sa demande. Le tribunal administratif de Paris vient d’ordonner aux préfectures d’Ile-de-France et à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) d’ouvrir à nouveau leurs dispositifs. Mais l’administration rechigne. voir suite plus bas 3- sur la France et Europe
+++ ASTI les Ulis: relevé de décisions du Bureau Fédéral et communiqués de la FASTI 22/4/20:En cette période de confinement, nous avons fait le choix d’augmenter la fréquence de nos bureaux. En effet, la période n’est pas toujours simple pour se projeter sur du long terme : les informations gouvernementales arrivent en ordre dispersé et sont changeantes. Voici donc le deuxième relevé de décisions pour le mois d’avril.
Nous voyons actuellement de nombreux communiqués, pétitions qui réclament la régularisation de tou-te-s les sans-papiers, et nous ne pouvons que nous réjouir de cet élan de mobilisation. Les communiqués que nous soutenons sont ceux qui réclament une régularisation pérenne, immédiate et inconditionnelle de tou-te-s les sans-papiers. Si l’ensemble de ces initiatives est à saluer, nous pensons qu’il faut porter collectivement cette revendication. Membre du groupe de facilitation des EGM (Etats Généraux des Migrations), nous pensons que ce collectif, qui réunit très large, doit se mobiliser pour porter une revendication claire au niveau national. Ces revendications doivent également être portées au niveau local, de manière collective, au sein des EGM ou non, selon nos réalités territoriales.
Au niveau des ASTI, nous constatons une forte mobilisation pour maintenir des actions de solidarité au quotidien. Un document de partage de ces initiatives a été mis en place pour s’enrichir mutuellement Nous vous invitons à le consulter et le compléter.
Nous reviendrons prochainement vers vous afin de poursuivre la réflexion sur les manières de se mobiliser tout en étant confiné. Le bureau fédéral.
ASTI le 21/4 /Coronavirus : « Notre nation doit montrer sa gratitude envers les étrangers qui affrontent cette crise avec nous » Pour des raisons de justice et de reconnaissance, les sans-papiers méritent de bénéficier d’un droit au séjour, estiment un collectif de personnalités parmi lesquelles Pascal Brice et Louis Gallois, dans une tribune au « Monde ».
FASTI le 6/4 : Associations et avocats demandent des mesures contraignantes pour assurer la protection de tous les mineurs non accompagnés dans le contexte de l’épidémie du Covid-19
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.xxxCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.xxxx Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.xxxx Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
: Il faut envoyer le texte à chaque adresse séparément. Les envois collectifs finissent directement dans les spams. Copiez le texte dans le corps du message. Changer l’objet du mail peut être également une bonne technique. -L’idée est de reproduire l’envoi de ces mails TOUS LES JOURS de 11H à 12H ! Brisons le silence, ne laissons pas isolés les prisonniers en lutte ! Texte à envoyer: “Au CRA du Mesnil Amelot, les retenus ont entamé une grève de la faim depuis le 30 mars pour protester contre l’enfermement et les conditions qui empirent avec le coronavirus; les retenus de Vincennes restent également mobilisés. A l’intérieur comme à l’extérieur, on continuera à lutter contre vos politiques racistes et contre les CRA qui tuent, torturent, tabassent. On demande la libération immédiate de tous les retenus et la fermeture du CRA." Vous retrouverez le communiqué et les détails sur ce site: https://abaslescra.noblogs.org/solidarite-aux-prisonniers-du-mesnil-amelot-et-de-vincennes-appel-a-harceler-les-prefectures-en-ces-temps-de-confinement/?fbclid=IwAR1UM2QtofNR2QnIWksHO5O7kb_CX4i1FY87XBee0p4MurX1_6rGt1XiiSI
1- Des associations des Ulis et environs:
Noël à la résidence hotelière avec près de 200 enfants -voir les organisateurs sur la photo ci-dessus et le dessin d'enfants sur la page d'accueil de cet "article"
réunion du Collectif pour faire le point et préparer actions le vendredi 29 janvier 2016, et 2 fois par trimestre (la dernière était le mercredi 19 octobre),
aides des familles pour la rentrée scolaire..
dont scolarisation des enfants de Familles Hébergées, actions Jeunes majeurs lycéens
venez à la boutique de Courdimanche ou au dépôt de Villeziers à St-Jean-de-Beauregard
et le produit permet de financer des salariés en insertion et d'aider des familles en difficultés (voir annuaire)
Accueil des réfugiés sur le secteur de l'Yvette :
Si vous souhaitez participer soit financièrement, soit comme bénévole, vous pouvez contacter :
Dom'Asile : Xavier Banvillet. <mailto:Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.;
ary91, contact : <mailto:Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.; Téléphone : 01 60 12 46 59
Me Sabrina BUCHER- 14 rue Antonio Vivaldi 91280 St PIERRE du PERRAY, 01 00 78 06 63
Contact : Gaëtan Ziga Mbarga, responsable Young Caritas Essonne – 06 59 67 60 39.
503 Place des Champs Elysées, 91080 Courcouronnes;01 60 87 90 00
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Téléphone : 01 69 28 33 38
- Armée du Salut
Antenne de Paris -9, Villa Coeur de Vey 75014 Paris Tel. 01 45 42 15 68
CHRS (Centre d'Hébergement et de Réinsertion Sociale) 12, rue Cantagrel 75013 Paris Tel. 01 53 61 82 00
- Croix-Rouge française - délégation départementale de l'Essonne http://91.croix-rouge.fr/
Maison Christiane Lehéricey 8 rue Jean Mermoz Z.I. de St-Guénault 91 080 Courcouronnes
Evry-Centre-Essonne 7 rue Alphonse Daudet 91000 Evry Tel : 01 60 77 36 64
Pour les Ulis contacter Croix Rouge Des Vallées-Bièvre-Yvette
7 place de la victoire 91120 Palaiseau
Tel / Fax : 01 69 31 13 93 - E-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Site : bievre.croix-rouge.fr
Local des Ulis Résidence des hautes bergères - tour "juin" - niveau rez-de-jardin : contacter tél de Palaiseau
Services du Conseil départemental :
MDS, PMI, CDPS, qui fait quoi ?
Fleurons du service public départemental, les Maisons départementales des solidarités (MDS), les centres de protection maternelle et infantile et de planification (PMI-CPEF) et les centres départementaux de prévention santé (CDPS) reçoivent et accompagnent les Essonniens au quotidien. Mais quelles sont leurs missions précises ?
réunions de préparation à 20h30 à la MdA : 2e = lundi 16 sept 19, 3e= mardi 5 novembre -plus d'infos
Journée mondiale du refus de la misère, Collectif Sofhesu (familles hébergées aux Ulis), Association de Solidarité en Essonne aux Familles Roms, RESF 91 et Observatoire du CRA Palaiseau; Attac; LDH, ASTI - DALO; CIMADE, assoc d'aide aux réfugiès.
infos CD 91 au 10/7/19 : Un simulateur pour l’aide au logement étudiant
Depuis le 8 juillet, la Caisse d’allocations familiales (Caf) met à disposition de ses usagers un simulateur en ligne pour calculer facilement l’aide au logement à laquelle les étudiants peuvent prétendre...
Vous pourrez prendre connaissance de l’engagement du Département pour l’égalité entre les femmes et les hommes mené au travers de trois grands prismes que sont :
Eduquer, former et sensibiliser, Prévenir et lutter contre les violences faites aux femmes, Renforcer l’accès au droit des essonniennes.
L’équipe de la direction citoyenneté, jeunesse et vie associative vous remercie pour votre engagement et reste à votre écoute. Dépliant sur demande : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Vous convie à la projection du film REGARDE AILLEURS à 20h lundi 6 Mai au CINEPAL’
L’Europe, États de droit et terres d’accueil ? Regarde Ailleurs donne à voir une réalité frappante. À travers des moments de vie partagés à Calais, le réalisateur est parvenu à filmer le harcèlement étatique, les mises en scène médiatiques, mais surtout la force et l’humour des exilés.
Et, à la MJC de Palaiseau, Parc de l'Hôtel de Ville AUX FRONTIÈRES DU DROIT LA POLITIQUE D’IMMIGRATION EN QUESTION par et avec Julie Allard 20h30 vendredi 10 mai «Conférence Gesticulée» 10hsamedi 11 mai (rdv café à 09h30) : Débat La conférence gesticulée est une prise de parole publique sous la forme d’un spectacle politique militant.
Réponses des candidats élections départementales aux questions du SoFHESU : dans "Infomations:En Savoir Plus:/SoFHESU-réponses"
+ Aprés le 1er tour des présidentielles : de nombreuses associations nationales appellent à FAIRE BARRAGE AU FN
dont Journée mondiale des réfugiés : 20 juin 2019
CD91 au 29 mai 2019 :Bilan d'étape pour le pacte solidarité du Département
+ FASTI / Campagne inter-associative pour mettre fin à l'enfermement des enfants
La FASTI est partie prenante d'une campagne inter-associative pour mettre fin à l'enfermement des enfants lancée par Unicef. Cette longue campagne, qui compte sur la mobilisation de chacun-e, s'adresse aux institutions
dans l'objectif d'aboutir à l'adoption d'une loi interdisant l'enfermement des enfants.
Depuis dix ans, dans les communes du Val d’Yerres-val de Seine, l’association Léa vient en aide aux femmes victimes de violences conjugales,
de harcèlement ou d'agressions sexuelles. Elle les héberge dans des logements transitoires le temps de se reconstruire.
pour plus d'infos voir dans "Archives"
Asti les Ulis 26.04.2020 Covid-19 : le droit d’asile « gelé »
Le contexte sanitaire a servi de justification aux atteintes au droit d’asile. Des atteintes inédites sur tout le territoire, à commencer par la possibilité de faire enregistrer sa demande. Le tribunal administratif de Paris vient d’ordonner aux préfectures d’Ile-de-France et à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) d’ouvrir à nouveau leurs dispositifs. Mais l’administration rechigne.
La crise sanitaire a justifié, dans plusieurs régions dont l’Ile-de-France, la fermeture des services de premiers accueil (SPADA) et des guichets uniques (GUDA) en préfecture permettant l’enregistrement des demandes d’asile. Saisi en référé par sept associations et sept personnes exilées, le tribunal administratif (TA) de Paris a ordonné le 21 avril la réouverture, sous cinq jours, des bureaux mis progressivement à l’arrêt depuis la mi-mars dans les préfectures franciliennes. « En rendant désormais impossible l’enregistrement et le traitement des demandes d’asile, l’autorité administrative a porté une atteinte grave et manifestement illégale au droit d’asile » affirme le TA.
Les préfectures avaient mis en avant la protection de la santé de leurs agents : pour le juge, elles se doivent d’appliquer les mesures d’hygiène nécessaires au respect de ce droit fondamental. Sans enregistrement, les arrivants sur le territoire « se retrouvent sans droit au séjour, ni accès à l’allocation et à l’hébergement prévus pour les demandeurs d’asile. C’est extrêmement problématique » déplore Caroline Maillary, responsable du Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigrés), une des associations requérantes. Selon le ministère de l’Intérieur, depuis le 16 mars, 1200 demandes d’asile ont été enregistrées, contre 10 000 pour un mois normal. « Nous n’enregistrons pas les demandes à 100 % du niveau antérieur ; ceci étant, il y a beaucoup moins d’arrivées » justifie le ministère.
L’OFII est également concernée : sa plateforme téléphonique, première étape nécessaire pour un demandeur d’asile souhaitant se faire enregistrer dans une préfecture francilienne, est à l’arrêt depuis le 22 mars. « Nous l’avons suspendue à partir du moment où les SPADA et GUDA ont fermé en préfecture » argumente Didier Leschi, directeur général de l’OFII : « la plateforme a pour fonction de distribuer des rendez-vous : dès lors qu’il n’y en a pas, elle n’a plus vraiment d’utilité ». Pour Caroline Maillary, cette position est « d’une grande malhonnêteté : dans les faits, la plateforme aurait pu continuer à recevoir des appels ». Le TA a tranché en faveur des associations, et ordonne à l’OFII de remettre en fonctionnement sa ligne sans délai.
Le ministère de l’Intérieur envisage de faire appel
Deux jours après s’être vu notifier l’ordonnance du TA, le ministère de l’Intérieur nous indique considérer la possibilité de faire appel, « mais la décision n’est pas officiellement prise ». Quant au délai de cinq jours pour un retour à la normal dans les préfectures, il est jugé « difficile à mettre en œuvre ». Et ce, en raison de la « pluralité d’acteurs » à mobiliser, à l’heure où « nous nous mettons en ordre de bataille pour être en mesure de reprendre les enregistrements au 11 mai », date prévue pour le déconfinement, précise le ministère. Du côté de l’OFII, Didier Leschi explique être « en discussion avec les préfectures » et attendre de « voir comment elles vont procéder »avant toute reprise de la plateforme » s’opposant ainsi au jugement du TA.
Dans tous les cas, les associations vont « rester hyper vigilantes » sur la question du nombre de rendez-vous journalier octroyés à la réouverture, insiste Caroline Maillary. L’ordonnance du TA laisse la possibilité d’enregistrer moins de demandes pour s’adapter aux consignes sanitaires : une souplesse « dommageable » aux yeux de la responsable du Gisti, qui craint des déblocages inférieurs aux besoins. Le ministère de l’Intérieur l’assure déjà : « ce ne sera pas, en tout état de cause, une réouverture en pleine capacité » des guichets.
« On a suspendu le droit d’asile »
Pour Gérard Sadik, responsable des questions d’asile à la Cimade, « c’est inédit : le droit d’asile a été gelé pendant le confinement ». Les durées des titres de séjours ont bien été prolongés, les délais de recours allongés... Mais sans possibilité d’enregistrer de nouvelles demandes, ni d’obtenir son entretien à l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), « on a suspendu le droit d’asile ».
Au-delà du traitement des demandes, les dispositifs de mise à l’abri et d’aide alimentaire aux exilés sont lacunaires : « le 115 est complètement débordé. La plupart des gens à la rue n’ont pas de chèques services, hormis les demandeurs d’asile déclarés ; leur montant n’est de toute façon pas suffisant » constate Caroline Maillary. Les conditions matérielles d’accueil dues aux demandeurs d’asiles ne sont pas toujours assurées. Entre autres, des problèmes avec la carte ADA (allocation pour demandeurs d’asile) remontent. La responsable du Gisti donne l’exemple d’une famille avec deux enfants « qui crevait la dalle, à qui l’OFII devait plus de 2 000 euros mais dont la carte avait été désactivée. L’OFII nous a répondu que c’était compliqué de les convoquer en préfecture, au vu de la situation sanitaire ». Les atteintes au droit d’asile se cristallisent aussi dans « tous ces petits détails pratiques qui font de la vie des gens un enfer » souligne-t-elle.
Cartes ADA : « se préparer à une grande catastrophe »
Les cartes ADA ne pourront plus fonctionner fin juillet, en raison de l’arrivée à échéance du marché public signé avec l’Agence de services et de paiements. « Une grosse opération de renouvellement va être mise en œuvre sur les prochains mois » confirme Didier Leschi. Or, près de 60 000 cartes sont à remplacer avant cette date - et la procédure a pris du retard. « Une opération avait été programmée début mars, avec convocation de tous les demandeurs d’asile, mais est arrivé le confinement… » explique Gérard Sadik. Ce dernier témoigne de demandeurs d’asile localisés à Lorient, « à qui on a demandé de venir chercher leurs nouvelles cartes à Paris le 27 avril. Mais il n’existe pas de motif autorisant à se déplacer pour cela ! » Le responsable associatif envisage de « se préparer à une grande catastrophe » cet été, qui concernerait nombre de demandeurs d’asile pour lesquels l’allocation est indispensable.
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Infos du 16 janvier 2020 Objet : En direct de Gaza 10 raids israéliens sur la bande de Gaza Ce mercredi 15 janvier 2020 En direct de Gaza, 10 raids israéliens sur la bande de Gaza Ce mercredi 15 janvier 2020 Rien ne semble changer pour les habitants de Gaza au début de cette nouvelle année L'aviation militaire israélienne a mené dix raids sur différentes régions de la bande de Gaza ce mercredi 15 janvier 2020 Des bombardements intensifs ce soir partout dans la bande de Gaza Et ça continue! C'est terrible ! Un début d'année dramatique pour les Palestiniens de Gaza Les agressions israéliennes contre les civils palestiniens se poursuivent dans tous les territoires palestiniens. Rien ne semble changer pour les habitants de Gaza en 2020 : blocus, agressions, bombardements, et souffrance totale. Devant le silence complice de cette communauté internationale officielle. Et devant l’absence des médias qui occultent cette réalité. La Palestine occupée résiste ! La Palestine digne est plus que jamais déterminée ! Gaza résiste, existe et vit ! Gaza sous blocus patiente ! Gaza la dignité garde toujours espoir ! Gaza la déterminée continue de s’accrocher à la vie ! Gaza l’agressée résiste, persiste et existe ! La lutte continue ! Vive la solidarité ! La Palestine vivra ! La justice triomphera !
- jeu 18 mars 2019 FASTI : Après le franc succès de la première formation politique qui a eu lieu à Saint-Denis sur le thème de la solidarité, nous vous proposons de migrer vers la côte ouest pour notre prochaine "formation politique" ! SAVE THE DATE ! La Formation aura lieu le week-end des 18 et 19 mai à Bernières-sur-Mer, près de Caen.Intitulée « Mais que faisons-nous dans nos ASTI ? Réinterroger nos pratiques au regard du contexte actuel », elle se propose dans la continuité de la formation précédente de réfléchir et d’échanger sur nos pratiques collectives en lien avec les valeurs de notre mouvement et du contexte actuel.Nous profiterons de la proximité avec Ouistreham pour rencontrer des membres du Camo (Collectif d’aide aux migrants de Ouistreham) qui vient en aide aux jeunes Soudanais qui se maintiennent à la frontière franco-britannique dans l’attente de passer en Angleterre.Pour s’inscrire, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous et de remplir le formulaire. Merci aux personnes qui auront besoin d’être hébergées le vendredi soir de l’indiquer. Une garde d’enfants peut être organisée pendant la formation. Pouvez-vous également nous dire si vous êtes intéressés ainsi que le nombre et l’âge de vos enfants.
https://framaforms.org/inscriptions-a-la-formation-politique-des-18-et-19-mai-2019-a-bernieres-sur-mer-pres-de-caen
Inscriptions avant le 10 avril ! Nous restons à votre disposition pour tout complément d’information,FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s)- 58, rue des Amandiers - 75020 PARIS- Tél : 01.58.53.58.53. - Fax : 01.58.53.58.43.
courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Site : www.fasti.org Facebook : https://www.facebook.com/FASTI
Journée mondiale des réfugiés : 20 juin 2019
On les appelle les personnes dublinées. Derrière cette appellation administrative sans humanité ni compassion, il y a des dizaines de milliers d’hommes, de femmes, d’enfants en détresse. Ces personnes ont fui la guerre et les persécutions dans leur pays d’origine, et sur le long chemin de l’exode jusqu’à l’Europe, elles ont affronté les dangers et les pires violences.
Contraintes à l’exil, ces personnes se sont accrochées à un seul espoir : trouver au bout du chemin une terre d’asile où reconstruire une nouvelle vie.
Mais la réalité est toute autre : ces personnes entrent dans la machine infernale du système Dublin qui permet à la France de les renvoyer vers leur pays d’entrée dans l’Union européenne, souvent l’Italie, la Grèce, la Bulgarie, l’Espagne, qui les renverra peut-être vers le pays à haut risque qu’elles ont fui.
Alors commence l’enfer pour ces personnes « dublinées » déjà très fragilisées et en quête de protection. Terrorisées par la menace des interpellations musclées, du placement en rétention et de l’expulsion, ce sont des dizaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants contraints de se cacher dans des forêts, des squats, ou de vivre sous des ponts, privés de ressources et de toute possibilité de faire valoir leurs droits.
C’est seulement après 18 mois de « survie » dans ces conditions indignes que ces personnes peuvent enfin espérer faire leur demande d’asile à la France. 18 mois d’angoisse et d’attente inutiles.
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HABITAT et Humanisme
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UNICEF- EN 2017, QUE FAIT-ON POUR LES ENFANTS ? Accompagner tous les enfants et les jeunes vers un meilleur respect de leurs droits implique des choix humains et politiques. Les enfants ne peuvent se constituer en lobby. Alors, pour eux et grâce à eux, l’UNICEF France adresse 8 propositions aux candidats à l’élection présidentielle. Car pour vivre ensemble, il faut pouvoir grandir ensemble.DÉCOUVREZ NOS 8 PROPOSITIONS AU FUTUR PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUEFRANÇAISE
+ Je deviens membre d'Amnesty International en 2017
ous avez fait le choix d'agir avec nous pour soutenir les personnes dont les droits sont bafoués et je tiens à vous en remercier de tout coeur.
Vous pouvez être fier(e) de faire partie de ceux qui se mobilisent. Quand beaucoup de personnes se résignent à ne rien faire face à la violence du monde, vous êtes de ceux qui agissent afin de tenter de changer la vie de personnes en danger.Je m’adresse aujourd’hui à vous afin de vous proposer de devenir membre de l’association Amnesty International France, par le biais d’un versement mensuel de 10€, par exemple, par prélèvement automatique.En acceptant de nous soutenir chaque mois, vous nous donnez les moyens d’agir en toute indépendance, afin par exemple
d’appeler à la libération de prisonniers d’opinion, à faire cesser les actes de tortures ou encore à défendre la liberté d’expression.En devenant membre d’Amnesty International, nous vous donnons les moyens d'agir à nos côtés. Vous aurez accès à une information exclusive via notre site extranet, notamment des propositions pour participer à nos campagnes et actions.
Vous recevrez également votre carte de membre qui vous permettra de participer à la gouvernance de l’association et de contribuer aux choix des grands combats à mener pour plus de respect des droits humains dans le monde. En 2017, rejoignez Amnesty International.
+RESF91: "l’asile est un droit" L'Appel "A Calais, l'Etat tombe le masque" est publié
A Calais, l’Etat tombe le masque : De nombreuses personnalités et organisations dénoncent «un "démantèlement" qui vient de commencer qui n’a rien de progressif ou d'humanitaire». Il y a urgence à exposer comment l’Etat passe outre l’Etat de droit à Calais. «L’asile est un droit ; la répression des réfugiés est donc un déni de démocratie».+ OEE Réunion publique lundi 7 mars 2016,19h locaux Ligue des droits de l'homme-138 rue Marcadet, 75018 ParisLes « zones grises » de l’enfermement des étrangers , Émergence de nouvelles formes de contrôle : l’exemple de Calais
ARCHIVES
A1- Des associations des Ulis et environs:
avec journée aux Ulis samedi 1er décembre 2018 - LCR de la Treille (voir plus d'infos)
Journée mondiale du refus de la misère (avec ATD-Quart Monde),, devant l'entrée de la mairie des Ulis, sur le parvis, mercredi 17 octobre 2018, de 18h15 à 19h.
Avec prises de paroles citoyennes et associatives, en soutien aux personnes confrontées à la misère.
[Action organisée par des associations ulissiennes, avec la participation du collectif SOFHESU, de parents d'élèves de l'école des Avelines,
en lien avec avec ATD-Quart Monde. Cette action est notamment soutenue par des citoyens ulissiens ou des environs et par l'Union des Associations des Ulis (UAU).
Elle a été proposée le 8 septembre 2018, lors du pot associatif offert par l'UAU pendant le Forum des associations de la ville des Ulis.]
Proposée en accord avec la Déclaration universelle des droits de l'homme, adoptée par l'ONU il y a 70 ans.
Menée en accord avec le principe constitutionnel de Fraternité, principe reconnu en France par le Conseil constitutionnel, le 6 juillet 2018.
Demande l'Égalité pour tous les enfants scolarisés aux Ulis (dans le prolongement des actions d'avril et juin 2018).*
* Afin que les enfants des familles hébergées aux Ulis par le 115 aient les mêmes droits à la Réussite éducative, à l'Aide aux devoirs,
à l'Accès aux Centres de loisirs, à la Cantine . . . , que les autres enfants scolarisés aux Ulis.
Bonjour, Notre école va être bloquée par les parents, mardi prochain à 16h30 pendant quelques minutes.
Le but de cette manifestation est d'alerter les habitants sur le statut des enfants hébergés par le SAMU social aux Ulis, qui bénéficient d'un traitement différent des autres enfants (pas le droit de s'inscrire aux centres de loisirs, à la garderie ou l'étude, inscription différée des inscriptions en maternelle à la mi-août au lieu de mars pour les autres, pas d'accompagnement par la MDS des Ulis et depuis peu fin de l'aide par la réussite éducative).L'autre objectif de cette manifestation est de soutenir la famille Djelabet, hébergée à l'hôtel, qui est sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français. La mère, diplômée d'un BAC+5, dont l'enfant est scolarisé à l'école des Avelines, est active socialement, tout comme le père, qui travaille pour une association de jardinage biologique. Cette famille est l'exemple même que l'hôtel dans lequel le SAMU social héberge ces personnes, n'est pas qu'un "vivier de prostitution et de drogue", vision qu'en a la municipalité. La ville des Ulis n'a ainsi pas besoin du SAMU social pour être en proie à la prostitution et à la drogue. Nous comptons donc sur votre présence pour faire connaître cette situation, seul poids que nous ayons pour faire infléchir la position des élus sur la question des hébergés. Le Collectif Sofhesu
A 2- Parmi les activités de l'Essonne et Paris :
Marche-actions festives dimanche 27 mai RV à 15h Métro Varennes (Paris) Locataires, mal-logé.e.s, HLM, architectes ... tou.te.s menacé.e.s:
Le projet de loi logement ELAN discuté à l’assemblée à partir du 28 mai présente de nombreuses régressions parmi lesquelles :
Le bail précaire de 1 à 10 mois • Le détricotage de l’encadrement des loyers • La vente de 400 000 HLM par an • la déconstruction de la loi SRU • La dérégulation des loyers HLM • Des menaces sur le bail durable en HLM • La quasi suppression des normes handicap dans le neuf • Des normes de construction et de commande publique abrogées au détriment des habitants et des architectes • De nombreux cadeaux aux milieux immobiliers • L’accélération de l’expulsions des locataires les plus modestes. …
ELAN c’est pour les spéculateurs, le logement cher et la financiarisation du logement
Après avoir amputé l’APL des plus modestes et les caisses des HLM, le logement social est menacé de marchandisation par ce projet de loi.
ELAN est un cadeau pour les milieux de l’immobilier, qui connaissent pourtant depuis 15 ans des profits exceptionnels, tandis que les loyers et les prix immobiliers et fonciers n’ont jamais été aussi élevés, aggravant ainsi la crise du logement.
Avec la loi ELAN et les grands projets (métropolisation, Grand Paris, JO, ...), le gouvernement Macron veut attirer la finance mondiale dans nos métropoles, en Ile-de-France et à Paris, devenue la 3e ville la plus attractive du monde pour la finance mondiale, après Singapour et Londres. Non, les traders exilés de la City, les fonds vautours, les prédateurs immobiliers genre “Trump Company” et autres spéculateurs internationaux et nationaux ne sont pas bienvenus dans nos villes et nos quartiers, dans nos HLM et nos logements, dans nos vies !
NON à la loi ELAN !
+ RESF 19/10/17 : Communiqué de l'Observatoire de l 'enfermement des étrangers (OEE) : "Etrangers : l a politique du rejet "
Etrangers : la politique du rejet
Communiqué de l’Observatoire de l’enfermement des étrangers (OEE) dont la LDH est membre Paris, le 16 octobre 2017
Le 27 septembre 2017, la Cour de cassation rendait un arrêt remarqué dont la solution conduit à invalider le placement en rétention administrative de nombreux demandeurs d’asile devant être renvoyés dans le premier pays d’Europe par lequel ils avaient transité, en application du règlement de Dublin.
Le répit sera toutefois de courte durée. Dans le même temps, une amplification de la politique du rejet et de l’éloignement se trame en coulisse. Au-delà des discours, elle se manifeste tous azimuts.
Par l’élargissement, presque illimité, des possibilités de contrôle d’identité frontalier dans le projet de loi renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme, dont le champ géographique est étendu, tout comme la durée, passant de six heures à douze heures consécutives. La prévention de la criminalité transfrontalière sert de prétexte fort commode à cette extension incontrôlée : l’affirmation textuelle de cet objectif est de pure forme et sera vite éclipsée par les pratiques et leurs motivations évidentes, faire du chiffre migratoire.
Par la banalisation sans précédent de l’enfermement des étrangers en situation irrégulière, qui constituerait l’une des mesures phares du projet de loi relatif à l’immigration à venir, selon l’AFP. Passant à 90 jours, voire à 135 jours en cas d’obstruction, la durée de la rétention administrative atteindrait des sommets inégalés, plus du triple de ce qu’elle était avant 2011 Le texte viserait également à contrer les effets de la jurisprudence précitée concernant les « dublinés » et à renvoyer dans des pays « tiers sûrs » un nombre important de demandeurs d’asile.
Après le drame de Marseille, Gérard Collomb vient également d’annoncer la création de 200 places supplémentaires en centre de rétention et le renforcement des services des étrangers des préfectures pour systématiser l’enfermement dans un amalgame scandaleux entre étrangers en situation irrégulière et terroristes.
Par le développement de nouveaux dispositifs facilitant l’expulsion. La lecture du projet de loi de finances pour 2018 nous apprend la création de centres d’assignation à résidence près des aéroports et la généralisation de centres de retour un peu partout en France.
L’observatoire de l’enfermement des étrangers s’insurge contre cette quête obsessionnelle de l’enfermement des exilés, sur la seule base du caractère irrégulier de leur séjour en France. La précipitation avec laquelle ce gouvernement expulse et amplifie les dispositions passées sans discernement au nom de présupposés idéologiques, mérite la plus ferme dénonciation, afin que ce funeste brouillon ne serve de trame aux projets de lois annoncés.
► POUR : le logement social et un logement stable, décent et accessible à tou.te.s MANIFESTATION à PARIS samedi 31 mars 15h place du Palais-Royal
La trêve hivernale des expulsions prend fin samedi 31 mars, tout comme le programme hivernal d’hébergement des sans abris.Toujours plus d’expulsions : En 2016, 128 146 jugements d’expulsion ont été rendus et 15 222 familles ont été jetées à la rue par la police et les huissiers, le plus souvent sans hébergement et sans relogement. Leur nom-bre va encore augmenter, car le gouvernement baisse les APL, n’applique pas l’encadrement des loyers et renforce la spéculation et les inégalités (baisses d’impôts ISF )
Des milliers d’hébergés jetés sur le trottoir : Dès le 1er avril, conséquence de la fermeture des hébergements d’urgence, des milliers de sans logis (migrants, anciens expulsés, chômeurs, précaires, …) plus nombreux chaque année, vont être remis à la rue.
Refusant d’appliquer le droit à un hébergement inconditionnel et à une orientation vers un relogement, mesures prévues dans la loi, le gouvernement (J. Denormandie) prétend en pleine vague de froid, que 50 personnes dans toute l’Île-de-France dorment dehors. C’est indigne pour les 5000 sans abris parisiens, actuelle-ment à la rue ou qui seront jetés sur le trottoir le 1er avril !
Violentes attaques contre le logement social : Après avoir réalisé plus de 3 milliards d’économies en baissant les APL, en piochant dans les caisses des HLM, le gouvernement veut les obliger à vendre 1% de leur parc par an, à faire appel à des capitaux privés, loin des besoins locaux.
Le dangereux projet de loi Logement (ELAN) annonce une dégradation encore plus brutale pour les sans abris, les mal logés et les locataires :
- Uberisation des locataires avec la création d’un bail super précaire de 1 à 10 mois dans le privé, qui a toutes les chances de se généraliser et de mettre encore plus de locataires à la merci des marchands de sommeil, … ;
- Mise en place d’un bail HLM révisable tout les 5 ans ;
- Remise en cause de la loi SRU qui oblige les villes de riches à avoir 25% HLM ;
- Nombreuses mesures de soutien aux milieux de la spéculation et de l’immobilier privé ;
- Appui à la métropolisation et à un urbanisme du profit qui chasse les classes populaires de leur quartier (gentrification)
- Dégradation de la qualité et de la conception des constructions neuves ainsi que des réhabilitations…
- L’arrêt des expulsions et des remises à la rue, le relogement ;
- Le respect du droit inconditionnel à l’hébergement jusqu’au relogement ;
- Abroger la circulaire Collomb qui autorise le contrôle des hébergés à l’hôtel et dans les centres ;
- Appliquer la loi DALO et la loi de Réquisition, … ;
- Rétablir les APL et les aides de l’Etat pour la construction de HLM;
- Cesser la vente des HLM, de leur construction par des promoteurs privés, et de toutes les autres formes de marchandisation du logement social ;
- Interdire les cautions solidaires, les congés abusifs ;
- Encadrer les loyers à la baisse en zones tendues ;
- Taxer les plus values tirées de la spéculation et des opérations publiques d’urbanisme ;
- Réguler le foncier urbain, préserver et développer le foncier public, au lieu de le vendre ;
- Prendre en compte les habitants lors d’opérations d’urbanisme ;
- Produire massivement des logements sociaux et très sociaux, à loyers abordables, durables, accessibles, à énergie passive, … ;
- Un service public du logement
A l’appel de (premiers signataires) : ATTAC, Bagagérue, CGT, CNAFAL, COPAF, CSF, DAL, Fondation Copernic, Syndicat de la Magistrature, Solidaire … Avec le soutien de : EELV
Objet Communiqué LDH : "31 mars, fin de la trêve hivernale : solidarité avec les « Sans » abri, logis ou domicile" 31 mars, fin de la trêve hivernale : solidarité avec les « Sans » abri, logis ou domicile
Communiqué LDH Le 31 mars, fin de la trêve hivernale, des dizaines de milliers de personnes, hommes, femmes, enfants, risquent de subir l’expulsion de leur logement. La Ligue des droits de l’Homme (LDH) attend des autorités publiques que soit proposée à toutes et tous une solution de maintien dans les lieux ou de relogement, refusant leur mise à la rue sans alternative.Suspendues depuis le 1er novembre 2017, le 31 mars 2018 les procédures d’expulsion dont celles pour impayés de loyer vont reprendre leur cours. En 2016, 128 146 jugements d’expulsion ont été rendus, 15 222 familles ont été expulsées avec le concours de la force publique. Triste record, qui confirme une tendance de long terme, avec une augmentation de 140 % en 15 ans.Ces expulsions ne s’accompagnent d’aucune obligation de relogement et les personnes se retrouvent à la rue. C’est alors le recours au 115 pour obtenir une solution d’urgence, mais aléatoire puisque seules 50 % des demandes enregistrées au niveau national sont satisfaites faute de places. Cette crise du maintien dans un logement est une préoccupation majeure pour tous les ménages modestes dans notre pays. 76 % des ménages locataires bénéficiaires des APL ont des revenus inférieurs au Smic. Les familles concernées vivent un décrochage croissant entre leurs dépenses de logement et les aides dont elles bénéficient. La moyenne des loyers a augmenté de 32 % entre 2000 et 2010, tandis que le plafond pris en compte dans le calcul des aides n’a été valorisé que de 15 %. A ces expulsions locatives risquent de s’ajouter celles visant les 573 sites (campements et bidonvilles) recensés en France en décembre 2017 par la Délégation interministérielle pour l’hébergement et l’accès au logement (Dihal), où vivent 15 000 personnes.
Enfindes milliers de sans-abris, du fait d’une gestion des hébergements d’urgence«au thermomètre»vont une fois de plus se retrouver à la rue en raison des fermetures des centres provisoires.LaLDH demande qu’aucune expulsion de logement ou de lieu de vie ne puisse être exécutée sans qu’un examen de la situation (diagnostic social) soit fait et sans qu’une solution de relogement adaptée soit proposée.LaLDHconsidère que l’accès à une citoyenneté effective qui est l’un de ses combats permanents, nécessite le respect du droit fondamental à un habitat digne pour chacun.Elle appelle à participer activement aux manifestations et actions qui, le 31 mars, défendront cette exigence de solidarité avec les «sans» abri, logis ou domicile. Paris 28 mars 2017 Télécharger le communiqué en format PDF
- Je serai en Sardaigne du 19 au 25 mars en compétition.
- Je suis sélectionnée au festival de Tétouan au Maroc en compétition aussi. Je serai du 27 mars au 1er avril
--Le Puy en Velay (Ciné Dyke) le 5 avril
- Saint Etienne le cinéma melies le 6 avril
- Clermont-Ferrand le 10 avril.
- Le 18 avril Saint Dona dans la drome
- A Grenoble au cinéma Saint Martin le 26 avril et Cinéma à Wingen le 22 mai
- A Périgueux le 29 mai
- Et dans 2 universités: Louvain et l'Université populaire près de Bayonne
Il a été projeté déjà à Starsbourg aux cinés Odyssée, Le Diagonale à Montpellier,
Le Semaphore à Nîmes, Utopia Avignon et Opéra à Lyon
En espérant vous croiser très bientôt dans nos quartiers !
À l'attention des acteurs engagés dans les États Généraux des Migrations
Bonjour à toutes et à tous, Le projet de loi Asile et Immigration a été présenté le 25 février en conseil des ministres. Il sera très prochainement débattu à l'Assemblée Nationale et au Sénat.
Nous vous proposons d'interpeller par courrier vos député.e.s (ou vos sénateurs/trices) et de demander à les rencontrer. Nous vous adressons ci-joint un modèle de lettre personnalisable.
Vous trouverez également en PJ une note préparée par VoxPublic avec quelques conseils sur la manière de procéder et une « antisèche » qui pourra être utile le jour d'un rendez-vous avec un.e parlementaire. Si vous interpellez vos député.e.s et sénateurs /trices, nous serons très intéressé.e.s par connaître les résultats de vos démarches. D'avance merci de bien vouloir nous en tenir informés via l'adresse cecile.duportal@eg-migrations.
Vous verrez que le projet de lettre aux député.e.s est exhaustif et donne un nombre important de points d'analyse/critique sur le contenu du projet de loi asile/immigration.
Ce courrier se fonde notamment sur les analyses très complètes produites par la Cimade et le Gisti que vous trouverez ici :
=> Sur le site de la Cimade, le décryptage du projet de loi asile et immigration :https://www.lacimade.org/decry
=> Sur le site du Gisti une rubrique est entièrement consacrée au projet de loi :www.gisti.org/projetdeloi2018
« Cette nouvelle rubrique du site du Gisti a pour objet de vous présenter toutes les étapes de la genèse de la future loi réformant le Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (Ceseda). Cette page sera complétée au fil de l'actualité (...) Nous vous invitons donc à consulter cette page régulièrement. »
Par ailleurs, nous nous proposons de vous adresser régulièrement, via la liste Agora, une lettre d'information reprenant les principales ressources mises en ligne par les associations membres des EGM. nous vous souhaitons plein de succès dans vos mobilisations et démarches..Le groupe de facilitation
CD91 14/2: Un Coup de pouce pour l'intégration À Saint-Michel-sur-Orge, le Centre de prévention, formation, insertion (Cepfi) facilite l’intégration des personnes récemment arrivées en France ou ne maîtrisant pas le français. L’association propose, avec le soutien du Département, des ateliers d’apprentissage des usages numériques pour les aider à mener leurs démarches en ligne. |
vendredi 16 février à Chilly-Mazarin sur le site de CHRONOPOST à 16h
Cependant, pour la Fondation, il est encore temps de redresser la barre. Le Gouvernement s’est engagé à atteindre l’objectif de « zéro personne à la rue » et la Fondation est convaincue que cela est possible. Mais il faut y mettre les moyens, en menant une politique sociale volontariste et en associant tous les acteurs concernés... [Lire la suite]
Christophe Robert, Délégué général de la Fondation Abbé Pierre
À Massy, les jeunes et les familles auront bientôt un nouveau lieu où s’informer, se faire aider et réaliser leurs projets. Un nouvel espace social, en partie financé par le Département,sort actuellement de terre au cœur du quartier Massy-Opéra. Ce bâtiment intergénérationnel ouvert à tous devrait être livré en septembre 2018.
+ CD 91 - GRANDE FETE POUR TOUS "Handicap et Citoyenneté" le 11 juin 2017 déroulé de « LA GRANDE FETE POUR TOUS (jeux, animations, spectacles) le 11 juin 2017 de 12h à 18h à Chamarande » (A cette occasion le programme de formation du second semestre 2017 vous sera remis (présence du Service des Relations avec les Associations sur le stand des officiels).Avec "Main dans la main", le Conseil départemental et ses partenaires se mobilisent pour le handicap. Les grands et les petits sont invités à passer un moment agréable autour d'animations culturelles, de structures gonflables, de jeux, d'expositions ou encore de rencontres sportives
le dimanche 11 juin dans le Domaine départemental de Chamarande de 12h à 18h. Les gourmands pourront profiter de barbe-à-papa et de produits gastronomiques locaux. L'entrée est gratuite et chacun est le bienvenu. Le Service des Relations avec les Associations. Les adresses courriel du Conseil Départemental de l’Essonne évoluent, @cg91.fr devient @cd-essonne.fr
+ 10/5/17 : Accueil de migrants : Bonnelles tord le cou aux idées reçues (78) http://www.caissedesdepotsdesterritoires.fr/cs/ContentServer?pagename=Mairie-conseils/MCExperience/Experience&cid=1250271773025
S.A.M -Solidarité Accompagnement des Migrants -13, rue de Villevert Tél. : 06 11 71 11 64 Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
nous pouvons avoir aussi des demandes matérielles ( vêtements, produits hygiène, fournitures : cahiers, crayons.......)
Michel ALLAIN Pt de l'Association Art 91 y donne des cours de français et je m'occupe du support graphique.
+ RESF (Réseau Education Sans Frontières)
La candidate du Front national, du chauvinisme et de la xénophobie réunis est donc présente au second tour de l’élection présidentielle.
Une large partie de sa démagogie est fondée sur la dénonciation violente et rabâchée des prétendus méfaits de l’immigration rendue responsable du chômage, du mal-logement, de l’insécurité, du terrorisme et on en passe. Ses propositions sont terrifiantes : interdiction (baptisée moratoire) de toute migration pendant trois mois pour commencer, solde migratoire annuel ramené à 10 000, obligation pour les immigrés de cotiser pendant 5 ans avant d’avoir droit à la moindre prestation sociale, suppression de l’Aide Médicale d’Etat, interdiction de toute scolarité pour les enfants de sans-papiers, obligation pour les étrangers de payer pour scolariser leurs enfants, déchéance de nationalité et expulsion pour les fichés S mais aussi pour certains délinquants…
Bien évidemment –et heureusement !– bon nombre de ces mesures sont en fait inapplicables. Elles ne sont en réalité mise en avant que pour alimenter le discours démagogique de l’héritière de Jean-Marie Le Pen, piper le maximum de voix racistes et celles de tous ceux qui cherchent des boucs-émissaires pour expliquer les injustices qui les frappent. Ce discours a aussi pu se nourrir des renoncements et des reniements du quinquennat Valls-Hollande, dont le candidat Macron est également comptable : poursuite de l’enfermement des enfants de sans-papiers, expulsions d’élèves ou de leurs parents, abandon du droit de vote des résidents étrangers aux élections locales, persistance du « délit de solidarité », durcissements de la législation…
En conséquence, il est pour le Réseau Education sans frontières non seulement inenvisageable que Le Pen soit élue, mais aussi nécessaire que son score soit le plus faible possible.
Nous appelons à faire barrage à l’héritière de Le Pen et au FN en mettant un bulletin Macron
dans l’urne et en participant massivement aux manifestations, à commencer par celles du 1er mai 2017
(précédée à Paris d’un rassemblement à 11h au pont du Carrousel en commémoration du meurtre de Brahim Bouarram par des militantEs d’extrême-droite en 1995).
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message de RESF contre le vote blanc : Nous portons sans doute la même analyse critique du programme de M. Macron, porteur de nouveaux reculs pour les droits des salariés, les services publics et les revenus de nombreux français. Au delà d'un programme plutôt creux se dessine la mise en œuvre probable d'un libéralisme qui n'a de social que le nom et que nous combattons.
Mais faut-il pour autant choisir une stratégie de vote qui fait de Macron et Le Pen, "bonnet blanc et blanc bonnet" (référence historique qui ne parlera qu'aux plus âgés d'entre nous)...?C'est commettre plusieurs erreurs tragiques : je n'en relèverai que trois.
1/ "le FN qui, je le crains, passera alors sans difficulté en 2022" dis-tu. Tu te trompes et tu sous-estimes cette "lepenisation des esprits que nous dénonçons depuis des années et à laquelle ont contribué les gouvernements successifs en embrayant sur l'identitaire, le nationalisme et les réflexes xénophobes. C'est bien dimanche prochain que le front national risque d'être majoritaire. Tu comptes sans doute sur d'autres électeurs pour t'épargner le malaise d'un vote Macron. Mais sur qui ? Une grande partie des électeurs de droite, quoi qu'en disent leurs dirigeants, n'hésiteront plus à sauter le pas... Et l'attitude de Mélenchon va effriter encore un peu plus le front antifasciste qui aurait pu et dû se constituer dès le lendemain du premier tour.
2/ Ton choix revient à faire du FN un parti comme les autres (je te fais le crédit de penser que tu n'es pas de ceux qui jouent la politique du pire et parient sur l'avenir de notre démocratie à la roulette russe !). Non, le FN est et restera un parti fasciste. La tactique habile et les mots d'ordre démagogiques qu'il a mis en avant pour siphonner des voix dans l'électorat populaire, aidé par les abandons d'une partie de la gauche, n'y changeront rien : c'est un programme autoritaire, identitaire et xénophobe, dans lequel les milices sont toujours dans l'ombre, qui risque de s'appliquer demain, la mise au pas des médias et des syndicats, la remise en cause drastique de nos libertés, l'alliance avec ce qui se fait de pire en Europe... Est-ce à cet avenir que nous acceptons d'ouvrir la porte ?
3/ Tu es de longue date engagé aux côtés de RESF et du combat pour les droits de tous, français ou immigrés, avec ou sans papiers. Penses-tu, pensez-vous sérieusement, à ce que sera le sort des étrangers dans une France gouvernée par le FN ? Le communiqué de RESF dresse à juste titre la liste des coups bas qui nous attendent dans un pays où les premières victimes de la politique dite de "préférence nationale" seront de fait ceux qui n'ont pas la bonne couleur de peau, les bons papiers, la bonne religion... Accepter de mettre le doigt dans l'engrenage du "grand remplacement", est-ce à cette dynamique et à ceux qui la portent que nous acceptons d'offrir un marche-pied ?Il me semble que poser ce diagnostic et répondre clairement à ces questions devraient vous amener à revoir votre décision. Demain ou dimanche dans le secret de l'isoloir, mais le plus tôt sera le mieux !
+ Comme de nombreuses associations nationales, SOS Racisme en campagne contre le FN : NON A LA HAINE, NON A LE PEN ! La qualification de Marine Le Pen pour le second tour de l’élection présidentielle montre à quel point notre démocratie est malade.Mais, pour l’heure, il s’agit pour toutes celles et ceux qui sont attaché(e)s aux valeurs de la démocratie de manifester leur refus de l’extrême-droite et de se mobiliser afin que le score de Marine le Pen soit le plus faible possible.Non la haine, non à Le Pen ! Ne lâchons rien !
+ Fondation Abbé Pierre
Entre les deux tours de l’élection présidentielle et en prévision des législatives, la Fondation Abbé Pierre tenait à vous faire part de sa conviction que les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité de notre République doivent être aujourd’hui plus que jamais défendues et portées par chacun de nous.La Fondation Abbé Pierre l’a montré pendant 8 mois avec sa campagne « #OnAttendQuoi », notre pays prouve chaque jour qu’une autre société, plus juste et plus fraternelle est possible ! Partout en France, des hommes et des femmes se mobilisent pour monter des projets qui soutiennent les plus fragiles, qui redonnent la parole et leur dignité aux exclus.À l’heure de choix politiques majeurs, il nous faut rappeler que nous avons besoin de responsables politiques qui soient les garants d’une société où chaque femme, chaque homme soit respecté et puisse vivre sans crainte dans notre démocratie. Une société qui affaiblirait le dialogue et l’entraide pour laisser s’installer la haine de l’autre serait ce qu’il pourrait nous arriver de pire.
Nous avons besoin d’une volonté politique qui réponde aux vrais nécessités de tous les citoyens et de tous ceux qui vivent dans notre pays : l'accès effectif à l’éducation, à la santé, à la culture, au logement et à l’emploi. À la veille de ce nouveau quinquennat, gardons en tête le combat de notre fondateur : la guerre à la misère. Pour cela, ce sont bel et bien toutes les formes d’exclusion qu’il nous faut combattre maintenant. Le Conseil d’Administration de la Fondation
+ Appel SOS Racisme Le Mardi 11 avril, SOS Racisme a initié une conférence de presse au cours de laquelle, l'association a devoilé le lancement d’une campagne de communication visant à mobiliser la jeunesse afin de contrer la vision de la France proposée par l’extrême droite.À l’approche du premier tour des élections présidentielles, Marine le Pen est en effet plus que jamais susceptible de se qualifier au second tour et d’ainsi nous replonger, en bien pire, dans la situation de 2002.Pourtant l’indignation et la mobilisation face à cette situation ne se manifestent pas avec la force que l’on pourrait espérer dans l’opinion publique et parmi des candidats bien peu aptes à proposer un modèle de société fraternelle, antiraciste, laïque et ouverte.
A travers cette campagne, SOS Racisme veut donc rappeler que la présence de Marine le Pen au second tour – que nous refusons de tenir pour acquise – ne ferait que dégrader un climat déjà extrêmement délétère dans notre pays. Pour lutter contre le danger de cette promesse d’un avenir traversé par les haines, cette campagne veut mettre en avant une autre vision : celle, majoritaire dans notre pays,d’une France belle, unie, métissée et heureuse de sa diversité.Avec la campagne #onestpareil, SOS Racisme veut montrer que, s’il existe au sein de la population française des différences d’origine ou de religion, nos similitudes nous rapprochent. Nous partageons en effet les mêmes passions, les mêmes activités, les mêmes valeurs et les mêmes angoisses du quotidien.
La campagne vient illustrer cette idée en mettant en scène dans des affiches des jeunes de 15 à 25 ans à l’attitude heureuse, manifestement d’origines différentes, mais liés par un élément vestimentaire ou un accessoire communs. Sur ces affiches est apposé le slogan : « Mon pote et moi, #onestpareil », tout en rappelant l’enjeu électoral derrière cette prise de parole avec la formule « NON À LA HAINE, NON À LE PEN ».Du mardi 11 avril aux échéances électorales, ces affiches physiques, accompagnées d’un ensemble de happenings et d’outils digitaux permettant aux gens de s’emparer véritablement de cette campagne, auront pour but de créer un mouvement, à la fois dans le monde physique et sur les réseaux sociaux afin de mobiliser les jeunes Français.
Nous avons besoin de vous pour que la campagne soit un succès.
10 mai 2017 [infocom-ldh] Pétition suite au communiqué inter-associatif : « Pour le respect de tous les modes d'habitat en Essonne et ailleurs ! »
Suite au communiqué ci-dessous (publié le 10 avril dernier) visant à dénoncer les effets d’une charte préfectorale signée le 6 décembre 2016 en Essonne pour lutter contre les installations et constructions illicites, une pétition a été mise en ligne : https://www.change.org/p/pour-le-respect-de-tous-les-modes-d-habitat-en-essonne-et-ailleursVous aussi, n’hésitez pas à diffuser et signer la pétition ! Service communication138 rue Marcadet – 75018 Paris Tél. 01 56 55 51 07 – Fax : 01 42 55 51 21 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. – www.ldh-france.org
« Pour le respect de tous les modes d’habitat en Essonne et ailleurs ! »
En Essonne un ensemble de partenaires (services de l’Etat, procureur de la République, collectivités territoriales, entreprises et organismes publics) a signé le 6 décembre 2016 une charte afin de lutter contre les implantations illégales de caravanes, de résidences mobiles, de mobil-homes, de baraques et de constructions. La mise en œuvre de cette charte ne peut qu’inquiéter. Comment ne pas craindre une « chasse aux sorcières » conduisant à des poursuites massives et quasi systématiques contre une catégorie particulière d’habitants ?
Les associations signataires accompagnent des personnes souvent vulnérables économiquement et/ou du fait d’un mode d’habitat différent. Leur éthique appelle, en toutes circonstances, au respect des droits fondamentaux de ces personnes et de la légalité par tous. Ainsi s’impose une vigilance forte sur la prise en compte du principe de proportionnalité maintes fois rappelé par la jurisprudence européenne et nationale. En application de celle-ci, il faut mettre en balance les règles d’urbanisme et/ou de propriété au regard du droit à la vie privée, familiale et du domicile, tout en tenant compte des besoins en habitat spécifique pour certaines populations.
Les associations signataires rappellent qu’en Essonne les difficultés d’habitat ainsi que leurs conséquences sont connues de longue date puisque les premières études remontent aux années 1980, jusqu’à la mise en œuvre en 2011 d’un observatoire de l’habitat des gens du voyage par l’État et le conseil départemental. Ont été recensés 1025 terrains sur lesquels vivent des gens du voyage sur 86 communes, en moyenne depuis dix-neuf ans (les plus anciennes datent de 1950) et en majorité en secteur à urbaniser (10 %) et urbains (42 %). Seulement 40 % des terrains sont raccordés à l’eau, à l’électricité et à l’assainissement ! Les installations en secteur agricole (16 %) et naturel (32 %) sont plus récentes et en essor car des ménages décohabitant, et ayant toujours vécu dans le département, ne trouvent pas d’autres solutions faute de moyens.
C’est pourquoi les associations signataires dénoncent cette charte qui vise à sanctionner et criminaliser des personnes vivant de manière permanente dans des caravanes, des baraques, des mobil-homes sur des terrains non prévus à cet effet, faute d’accès à un logement ou à un habitat adapté à leurs besoins. Elles la dénoncent aussi parce qu’aucune solution alternative n’est apportée, malgré une connaissance ancienne et importante des besoins dans ce département. Elles la dénoncent enfin quand le code de l’urbanisme n’est pas respecté par les collectivités, ceci mettant également en défaut le rôle de l’Etat quant au contrôle de légalité des documents d’urbanisme. Cette forme de discrimination dissimulée à l’égard de certains publics se traduit par l’interdiction d’implanter des résidences mobiles sur les terrains privés et par l’ignorance des situations de fait, souvent anciennes, dans les diagnostics et les règlements. Une autre conséquence de cette discrimination est l’absence de planification et de programmation, indépendamment des aires d’accueil, d’une offre publique adaptée au mode d’habitat en caravane aujourd’hui pour les familles en cause, demain pour les générations qui suivront.
Les associations estiment que la mise en oeuvre de cette charte ne participe qu’à accroître les difficultés de milliers de ménages essonniens. Cela risque fortement d’aggraver, pour les uns, l’indignité des conditions de vie sur leurs terrains lorsque des ménages se voient refuser l’accès aux besoins fondamentaux que sont l’eau et l’électricité. Pour les autres, elle conduira à la mise à la rue de familles enracinées sur un territoire qui seront victimes d’expulsions et d’évacuations régulières car contraintes à l’errance. Elles rappellent, pour ces situations, l’existence d’une autre charte consignant les droits des personnes mais également les obligations de l’ensemble des acteurs dans le cadre d’occupation sans titre de terrains.
C’est pourquoi, nous nous engageons à dénoncer chaque situation individuelle ayant pour conséquence une dégradation des conditions de vie familiale et à défendre le respect des droits des personnes. Nous attendons que des dispositifs efficaces, associant l’ensemble des acteurs du territoire, soient mis en œuvre pour répondre au droit à un habitat digne et adapté à tous les modes d’habitat dans le département.
Paris, le 10 avril Associations signataires : Association départementale Gens du voyage de l’Essonne (ADGVE), AGP, Aumônier nation des Gitans et Gens du voyage catholique, Association nationale des Gens du voyage citoyens (ANGVC), Association protestante des amis des Tziganes, Association de solidarité en Essonne familles roumaines et Rroms (Asefrr), Association sociale nationale internationale tzigane (Asnit), Asav, Centres sociaux, Collectif national des associations de citoyens itinérants (Cnaci), Collectif internement Essonne, Collectif national droits de l’homme Romeurope, Fédération des associations et des acteurs pour la promotion et l’insertion par le logement (Fapil), Fédération entraide protestante (FEP), Fédération protestante de France, Fédération des acteurs de la solidarité (Fnar), Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les Tsiganes et les Gens du voyage (Fnasat gens du voyage), Ligue des droits de l’Homme, Fondation Abbé Pierre, France liberté voyage, Halem, La vie du voyage, Relier, Solidarités nouvelles pour le logement Essonne, Syndicat de la magistrature, Ufat, Uriopss. Télécharger la version PDF
L'ADGVE, dont je suis administratrice, avait été alertée en décembre par un article du parisien (ci-joint PJ2), mais nous n'arrivions pas à avoir exactement la teneur de cette charte. Ce n'est que tardivement lorsque cette charte est arrivée dans les communes pour être signée que nous avons pu voir la gravité de la situation.
L'aspect surtout répressif de la Charte est inadmissible quand on sait que le département de l'Essonne est concerné par une présence importante de « Gens du Voyage » habitants permanents de résidences mobiles qui ne sont pas pris en compte. Le caractère traditionnel de cet habitat est reconnu par la loi Besson de juillet 2000 relative à l'accueil et l'habitat des Gens du Voyage. Le besoin en habitat est posé depuis de nombreuses années, pourtant il n'a pas été mis en place de manière complémentaire à celui de l'accueil. Les lois et les réglementations existent, il faudrait seulement que cette population soit reconnue comme des habitants de la ville où ils sont installés. (en particulier dans les études préalables aux PLU)
Sur le plan national: une plate-forme s'est constituée avec la FNASAT-Gens du voyage, la Fondation Abbé Pierre, l'ANGVC (Association nationale des gens du Voyage citoyens) pour élaborer un argumentaire adressé aux signataires de la charte. Je vous l'adresse pour information. (PJ3)
A l'ADGVE nous avons eu une rencontre avec un certain nombre de "Voyageurs" très inquiets soit parce que déjà en procédure avec le maire de la commune où ils vivent, soit parce qu' ils risquent d'être concernés par cette charte à brève échéance. Ils commencent à s'organiser pour réagir ensemble. Ils auront alors aussi besoin d'être soutenus au cas par cas localement.
Il va être important de se mobiliser localement. Pouvez-vous me faire savoir dès que possible si votre association serait signataire du communiqué de presse ci-joint (PJ4)? Dans ce cas, merci de me transmettre votre logo. Nous allons décider demain avec les "voyageurs" et leurs associations de la suite des actions à prévoir. Si certains d'entre vous peuvent venir, ils seront les bienvenus.
La rencontre est prévue jeudi 30 mars à 20h30 dans les locaux de l'ADGVE.Association Départementale Gens du Voyage de l'Essonne
Elle se fait par un clic sur le lien suivant http://www.fairfinancefrance.org/fair-finance-france/les-liaisons-dangereuses-des-banques-fran%C3%A7aises-avec-la-colonisation-isra%C3%A9lienne/ (géré par Fair Finance France un des 8 signataires du rapport), avec saisie de votre nom et adresse mail, ce qui génèrera l’envoi d’un mail aux 5 banques/assurances.
L’objectif est d’atteindre plusieurs milliers de mails d’ici quelques jours … ce qui implique que chaque adhérent y participe au plus vite…et au-delà diffuse vers l’ensemble de nos listes de sympathisants.
+ 27/3/17 RESF : La veille de notre rencontre nationale, le 1er avril (et ce n'est pas un poisson), le RESF94 et plusieurs orgas associatives et syndicales, sont à l'initiative d'un événement qui devrait vous intéresser. Ci-joint, le tract unitaire recto-verso appelant à la réunion publique du 1er avril à Vitry-sur-Seine, salle Robespierre de 15h à 19h, en présence de Cédric Herrou, agriculteur dans la vallée de la Roya et "délinquant de la solidarité" avec les migrants, et des travailleurs sans-papiers qui occupent le MIN de Rungis... et qui, nous l'espérons, vont gagner!Si vous passer par là en vue de notre rencontre du 2, n'hésitez pas. Si vous en avez besoin, je peux vous envoyer le plan pour accéder à la salle Robespierre de Vitry. Fraternellement,
+ Droit au logement http://www.droitaulogement.org/https://www.facebook.com/droitaulogement
Fin de la trêve hivernale : Manifestations le 1er Avril, pour : l’arrêt des expulsions ! la baisse des loyers ! un toit pour tou.tes ! A Paris : 15h Place de la république (Avec le collectif “nos droits contre leurs privilèges” - www.nosdroits.org Et la plate forme logement des mouvements sociaux)
Affiliée aux réseaux :
- COALITION Européenne pour le droit au logement et à la ville http://housingnotprofit.org/fr
- NOVOX : Réseau international des mouvements de lutte des “sans” http://www.novox.org/
- ATTTAC : Association altermondialiste contre la spéculation financière
- PFLMS : Plate forme logement des mouvements sociaux
Droit au Logement Fédération Droit Au logement –29 Avenue Ledru-Rollin 75012Paris tél 01 40 27 92 98 fax01 42 97 40 18 <http://www.droitaulogement.org/>
COMMUNIQUE Paris le 23 mars 2017 : Les militant-e-s du DAL Bordeaux définitivement relaxés après 4 années de harcèlement policier et judiciaire, injuste et ciblé
La cour d’appel de Bordeaux, s’alignant sur la décision de la cour de Cassation du 13 avril 2016, a prononcé la relaxe des militants du DAL 33 (Gironde) harcelés depuis 4 ans, pour avoir affirmé leur solidarité et apporté leur soutien aux familles sans logis qui avaient occupé un immeuble vacant au centre de Bordeaux.Il aura fallu près de 4 ans, pour que cette procédure s’achève, et que 3 militant-e-s qui ont soutenu les familles démunies, accusés en quelque sorte de délit de solidarité, soient mis hors de cause. Arbitraire et politique car elle visait un comité DAL très actif, cette procédure a commencé par des gardes à vue, des perquisitions, la confiscation des ordinateurs et téléphones portables, sans que cette procédure musclée n’aboutisse à mettre en lumière des faits mettant en cause les militant-e-s. Le Parquet avait néanmoins poursuivi, sans fondements réels, et TGI, puis la cour d’appel avaient condamné en 2014 les 5 militant-e-s, à 3 mois de prison avec sursis et environ 10 000 euros au titre des intérêts civils. Le jugement de la Cour d’appel a été cassé le 13 avril 2016, obligeant aujourd’hui la Cour d’Appel de Bordeaux à se dédire. La fédération dénonce ce harcèlement, mis en place par la police, les responsables politiques et judiciaires et les notables locaux, qui a marqué la vie des militant-e-s du comité, organisé en collégiale, c’est à dire avec plusieurs personnes ayant la responsabilité légale de l’association.Justice a enfin été rendue, mais seuls trois militant-e-s avaient saisi la cours de cassation. Les deux autres, lassé-e-s de ces procédures interminables et éprouvantes, avaient renoncé. Ils devront supporter les condamnations arbitraires et injustes rendues par la cour d’appel en 2014. Nous ne les oublions pas et leur apportons notre soutien.DAL fédération salue le courage et la détermination des militant-e-s poursuivi-e-s, et souhaite désormais beaucoup d’actions et de réussites au DAL 33 pour les sans logis, les mal logés et les locataires de Bordeaux !Un toit c’est un droit ! Droit au logement http://www.droitaulogement.org/
Arrêté le 24 février lors d’un contrôle dans les transports en commun, Brahima TOUNKARA a été enfermé au Centre de rétention de Palaiseau. Le 3 mars, il était conduit à Roissy pour être expulsé par le vol pour Bamako de 15h50. Il a réussi à refuser d’embarquer mais les policiers ne lui ont pas caché que ce serait plus difficile à la deuxième tentative.Il faut empêcher que trois tout jeunes enfants soient privés de leur père, qu’une jeune femme soit privée de son mari. Le démembrement des familles, ça suffit !Pour faire savoir ce que vous pensez aux responsables. merci de signer en nombre la pétition : http://resf.info/P3158
Convoqué à 9h, M. Tounkara est passé vers 15h30 16h. Le juge de la cour d'appel de Paris a rejeté l'appel et la demande d'assignation à résidence de l'avocat. M. Tounkara reste en rétention.Une délégation de Maliens sont venus soutenir M. Tounkara au Palais de justice et ont fait une vidéo sur facebook qui a été visionnée 1700 fois. Bravo les Maliens !+LDH 15/2/17 : Appel à rassemblement "Avec Théo et les autres victimes" à l'initiative du Cran, LDH, Mrap, SOS Racisme, CGT et FSU :
le samedi 18 février 2017, à Paris, à 15h, place de la République Avec Théo et les autres victimes : Rassemblement à Paris, samedi 18 février 2017, à 15h, place de la République.
+transmis par l'ASTi des Ulis le 27/1/17L’ACCES AU LOGEMENT DES MENAGES A BAS REVENUS EN ILE-DE-FRANCE : QUELLES SOLUTIONS ? Mardi 28 février 2017 de 9h15 à 12h30 A la Cité de Refuge de l’Armée du Salut12 rue Cantagrel – 75013 PARIS
le 26 janvier, Paris https://www.fidh.org/IMG/pdf/
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Un toit c'est la loi !

Nous n’acceptons pas que soient prises en notre nom des dispositions qui brisent des vies humaines et font voler en éclat des couples et des familles.
Nous refusons les interpellations au faciès, l’enfermement et l’expulsion d’hommes, de femmes et même d’enfants.
Nous dénonçons les conditions de détention inhumaines dans les centres de rétention administrative et les zones d’attente des aéroports et, avant tout, leur existence.
Nous n’acceptons pas que la France refuse sa protection aux demandeurs d’asile qui sont exposés à de très graves dangers en cas de retour dans leur pays d’origine.
Nous dénonçons les obstacles administratifs qui contraignent des hommes, des femmes, des familles entières à vivre et à travailler dans la clandestinité et la peur, privés de tout projet et de conditions de vie simplement décentes.
Nous refusons cette chasse aux étrangers qui inflige aussi des traumatismes profonds à ceux qui en sont les témoins, à la société toute entière, aux enfants particulièrement.
Les atteintes à la dignité de quelques uns blessent tous les hommes dans leur humanité.
Nous voulons que la France redevienne un pays d’accueil, sans cesse enrichi et transformé par des êtres humains venus du monde entier.
Nous sommes solidaires des retenus du Centre de rétention de Palaiseau.
>Bonjour à toutes et à tous, Ce samedi 4 juin aura lieu une journée de mobilisation contre les accords transatlantiques : Nuit Debout appelle les élus parisiens à voter une motion "hors CETA et TAFTA".
C'est par cette campagne de sensibilisation, lancée en 2007, que la Fondation Abbé Pierre souhaitait attirer l'attention des citoyens sur les conséquences négatives du mal-logement en matière de santé. Les liens entre problèmes de logement et de santé sont évidents lorsque l'on se penche sur l'état de santé des personnes en situation de mal-logement, de précarité énergétique, qu'elles habitent un logement indigne, insalubre ou un appartement situé dans une copropriété dégradée.
+++ journée sur le thème du LOGEMENT, Samedi 19 mars 2016, 138 rue Marcadet PARIS
+ Des départs groupés pour la manif contre la loi travail plus d'infos sur Essonne Infos du 31/3/16 en particulier Les Ulis :12h à L’Essouriau et 12h30 à Courtaboeuf, 3 avenue des Indes.
++ Invitation pour la prochaine réunion publique de l’Observatoire de l’enfermement des Etrangers-OEE-