dimanche, 27 août 2017 16:55

Activités sociales Esonne Ile de France

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 2- Parmi les activités de l'Essonne et Paris : actions 2016-2017
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+29/3/17 ADGVE :  Je viens aujourd'hui lancer une alerte à l'Observatoire du Mal logement de Paris-Saclay au sujet de la Charte contre les constructions illicites ci-jointe (PJ1) qui concerne en premier lieu les "Gens du Voyage" qui habitent en Essonne de façon permanente en résidence mobile mais peut aussi concerner des familles roms.

L'ADGVE, dont je suis administratrice, avait  été alertée en décembre par un article du parisien (ci-joint PJ2), mais nous n'arrivions pas à avoir exactement la teneur de cette charte. Ce n'est que tardivement lorsque cette charte est arrivée dans les communes pour être signée que nous avons pu voir la gravité de la situation.

L'aspect surtout répressif de la Charte est inadmissible quand on sait que le  département de l'Essonne est concerné par une présence importante de « Gens du Voyage » habitants permanents de résidences mobiles qui ne sont pas pris en compte. Le caractère traditionnel de cet habitat est reconnu par la loi Besson de juillet 2000 relative à l'accueil et l'habitat des Gens du Voyage. Le besoin en habitat est posé depuis de nombreuses années, pourtant il n'a pas été mis en place de manière complémentaire à celui de l'accueil. Les lois et les réglementations existent, il faudrait seulement que cette population soit reconnue comme des habitants de la ville où ils sont installés. (en particulier dans les études préalables aux PLU)

Sur le plan national: une plate-forme s'est constituée avec la FNASAT-Gens du voyage, la Fondation Abbé Pierre, l'ANGVC (Association nationale des gens du Voyage citoyens) pour élaborer un argumentaire adressé  aux signataires de la charte. Je vous l'adresse pour information. (PJ3)

A l'ADGVE nous avons eu une rencontre avec un certain nombre de "Voyageurs" très inquiets soit parce que déjà en procédure avec le maire de la commune où ils vivent, soit parce qu' ils risquent d'être concernés par cette charte à brève échéance. Ils commencent à s'organiser pour réagir ensemble. Ils auront alors aussi besoin d'être soutenus au cas par cas localement.

Il va être important de se mobiliser localement. Pouvez-vous me faire savoir dès que possible si votre association serait signataire du communiqué de presse ci-joint (PJ4)? Dans ce cas, merci de me transmettre votre logo.

Nous allons décider demain avec les "voyageurs" et leurs associations de la suite des actions à prévoir. Si certains d'entre vous peuvent venir, ils seront les bienvenus.

La rencontre est prévue jeudi 30 mars à 20h30 dans les locaux de l'ADGVE.Association Départementale Gens du Voyage de l'Essonne
16, rue du bel air - ZI de l'églantier - 91090 Lisses -Tél. : 01 60 86 09 52 -www.adgve.com  -  https://www.facebook.com/adgve91

Je suis à votre disposition pour toute info complémentaire et vous tiendrai au courant de la suite si vous le voulez bien. Merci de me faire connaître votre position et de diffuser cette information à vos associations départementales.
Martine Platel - Administratrice de l'ADGVE - 06 81 03 46 93
 
 
 +31/3/17-  Association France Palestine Solidarité : Campagne banques/assurance : campagne de mails urgente
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser." href="mailto:Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 Comme vous avez pu le voir sur le site depuis ce matin, le rapport sur « Les liaisons dangereuses de banques et assurances françaises avec la colonisation israélienne » est publié aujourd’hui, accompagné du communiqué diffusé très largement. Signé des 8 organisations AFPS, CCFD, CGT, FIDH, Al Haq, LDH, Solidaires, FFF. http://www.france-palestine.org/Les-liaisons-dangereuses-des-banques-et-assurances-francaises-avec-la

Il est également mis en ligne sur les sites des partenaires ainsi que de la Plateforme des ONG. Il fait aujourd’hui l’objet d’une couverture de presse conséquente.Une campagne de mails adressés aux 5 banques et assurances est ouverte dès aujourd’hui et ce pour quelques jours, pour renforcer la pression sur “les 5”(BNP, Crédit Agricole et LCL, BPCE, Société Générale, AXA) .

Elle se fait par un clic sur le lien suivant http://www.fairfinancefrance.org/fair-finance-france/les-liaisons-dangereuses-des-banques-fran%C3%A7aises-avec-la-colonisation-isra%C3%A9lienne/                 (géré par Fair Finance France un des 8 signataires du rapport), avec saisie de votre nom et adresse mail, ce qui génèrera l’envoi d’un mail aux 5 banques/assurances.

L’objectif est d’atteindre plusieurs milliers de mails d’ici quelques jours … ce qui implique que chaque adhérent y participe au plus vite…et au-delà diffuse vers l’ensemble de nos listes de sympathisants.

+ 27/3/17 RESF : La veille de notre rencontre nationale, le 1er avril (et ce n'est pas un poisson), le RESF94 et plusieurs orgas associatives et syndicales, sont à l'initiative d'un événement qui devrait vous intéresser. Ci-joint, le tract unitaire recto-verso appelant à la réunion publique du 1er avril à Vitry-sur-Seine, salle Robespierre de 15h à 19h, en présence de Cédric Herrou, agriculteur dans la vallée de la Roya et "délinquant de la solidarité" avec les migrants, et des travailleurs sans-papiers qui occupent le MIN de Rungis... et qui, nous l'espérons, vont gagner!

Si vous passer par là en vue de notre rencontre du 2, n'hésitez pas. Si vous en avez besoin, je peux vous envoyer le plan pour accéder à la salle Robespierre de Vitry. Fraternellement,

 

+ Droit au logement http://www.droitaulogement.org/https://www.facebook.com/droitaulogement
Fin de la trêve hivernale : Manifestations le 1er Avril,   pour :  l’arrêt des expulsions ! la baisse des loyers ! un toit pour tou.tes !
A Paris : 15h Place de la république
(Avec le collectif “nos droits contre leurs privilèges” - www.nosdroits.org    Et la plate forme logement des mouvements sociaux)
Affiliée aux réseaux :

  • COALITION Européenne pour le droit au logement et à la ville  http://housingnotprofit.org/fr
  • NOVOX : Réseau international des mouvements  de lutte des “sans” http://www.novox.org/
  • ATTTAC : Association altermondialiste contre la spéculation financière
  • PFLMS : Plate forme logement des mouvements sociaux
      Droit au Logement Fédération Droit Au logement –29 Avenue Ledru-Rollin 75012Paris tél 01 40 27 92 98  fax01 42 97 40 18 <http://www.droitaulogement.org/>

COMMUNIQUE Paris le 23 mars 2017   : Les militant-e-s du DAL Bordeaux définitivement  relaxés après 4 années de harcèlement policier et judiciaire, injuste et ciblé

La cour d’appel de Bordeaux, s’alignant sur la décision de la cour de Cassation du 13 avril 2016, a prononcé la relaxe des militants du DAL 33 (Gironde) harcelés depuis 4 ans, pour avoir affirmé leur solidarité et apporté leur soutien aux familles sans logis qui avaient occupé un immeuble vacant au centre de Bordeaux.
Il aura fallu près de 4 ans, pour que cette procédure s’achève, et que 3 militant-e-s qui ont soutenu les familles démunies, accusés en quelque sorte de délit de solidarité, soient mis hors de cause.    
Arbitraire et politique car elle visait un comité DAL très actif, cette procédure a commencé par des gardes à vue, des perquisitions, la confiscation des ordinateurs et téléphones portables, sans que cette procédure musclée n’aboutisse à mettre en lumière des faits mettant en cause les militant-e-s.
Le Parquet avait néanmoins poursuivi, sans fondements réels, et  TGI, puis la cour d’appel avaient condamné en 2014 les 5 militant-e-s, à 3 mois de prison avec sursis et environ 10 000  euros au titre des intérêts civils.  Le jugement de la Cour d’appel a été cassé  le 13 avril 2016, obligeant aujourd’hui  la Cour d’Appel de Bordeaux à se dédire.
La fédération dénonce ce harcèlement, mis en place par la police, les responsables politiques et judiciaires et les notables  locaux, qui a marqué  la vie des militant-e-s du comité, organisé en collégiale, c’est à dire avec plusieurs personnes  ayant la responsabilité légale de l’association.
Justice a  enfin été rendue, mais  seuls trois militant-e-s avaient saisi la cours de cassation.
Les deux autres, lassé-e-s de ces procédures interminables et éprouvantes, avaient renoncé. Ils  devront supporter les condamnations arbitraires et injustes rendues par la cour d’appel en 2014. Nous ne les oublions pas et leur apportons notre soutien.
DAL fédération salue le courage et la détermination des militant-e-s poursuivi-e-s, et souhaite désormais beaucoup d’actions et de réussites au DAL 33  pour les sans logis, les mal logés et les locataires de Bordeaux !
Un toit c’est un droit ! Droit au logement http://www.droitaulogement.org/

+ RESF INFO : 17/3 : Brahima TOUNKARA a été libéré
1419 signatures ce lundi 6 mars à 16h- si vous n'avez pas signé n'hésitez pas  et parlez-en autour de vous
3 mars 2017 à 21h48 : LE DEMEMBREMENT DES FAMILLES, CA SUFFIT ! 

Brahima TOUNKARA vit en France depuis 15ans (2001), sa femme Coumba KONTE l’a rejoint en 2010. Ils ont deux enfants, Boubou deux ans et Noukhoussa, trois ans et demi, scolarisé en maternelle aux Ulis (91) où est logée la famille. Ils attendent un troisième enfant.

Arrêté le 24 février lors d’un contrôle dans les transports en commun, Brahima TOUNKARA a été enfermé au Centre de rétention de Palaiseau. Le 3 mars, il était conduit à Roissy pour être expulsé par le vol pour Bamako de 15h50. Il a réussi à refuser d’embarquer mais les policiers ne lui ont pas caché que ce serait plus difficile à la deuxième tentative.Il faut empêcher que trois tout jeunes enfants soient privés de leur père, qu’une jeune femme soit privée de son mari. Le démembrement des familles, ça suffit !Pour faire savoir ce que vous pensez aux responsables.
merci de signer en nombre la pétition : http://resf.info/P3158 

Convoqué à 9h, M. Tounkara est passé vers 15h30 16h. Le juge de la cour d'appel de Paris a rejeté l'appel et la demande d'assignation à résidence de l'avocat. M. Tounkara reste en rétention.Une délégation de Maliens sont venus soutenir M. Tounkara au Palais de justice et ont fait une vidéo sur facebook qui a été visionnée 1700 fois. Bravo les Maliens !
 
 +18/3/17 : INVITATION  A UNE DÉMARCHE URGENTE !!

Pour la dignité des personnes, plusieurs associations de l'Essonne nous invitent à nous mobiliser, à venir partager un petit déjeuner de 6h à 10h matin le lundi 20 mars devant la préfecture de l'Essonne, Boulevard de France 91000 Évry, avec celles et ceux qui font une queue interminable pour renouveler leur titre de séjour. 

Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse et l'affiche qui accompagnent cette invitation.

Cette initiative émane des organisations/associations suivantes: Secours Catholique de l'Essonne, Aumônerie catholique des étudiants d’Évry, Réseau Education Sans Frontières 91, Cimade Évry, Ligue des Droits de l'Homme section Évry, Maison du Monde d’Évry, Cfdt Essonne.
Merci de relayer le plus largement dans vos réseaux cette démarche citoyenne et fraternelle. En espérant votre soutien, vive notre solidarité.  Nous contacter: Gaëtan ZIGA MBARGA 0659676039 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

+ RESF 18 mars 2017  : BRAHIMA TOUKARA LIBERE… IL DOIT ETRE REGULARISE !

Brahima Tounkara, Malien sans papiers vivant en France depuis 15 ans, est libre depuis ce 17 mars après midi. Ses deux enfants (3,5 ans et 2 ans) et un troisième à naître ne seront pas rendus quasi-orphelin par l’expulsion de leur père, interdit trois ans de territoire français en prime. Contrôlé dans l’autobus le 24 février, il a été emprisonné en centre de rétention administrative (CRA), d’abord à Palaiseau puis au Mesnil-Amelot où il a été transporté pour l’éloigner de sa famille et de ses soutiens. Il a été « présenté à l’avion » deux fois, la seconde fois jambes entravées, menotté dans le dos et bâillonné. Les passagers ont refusé de décoller avec un compagnon de voyage dans un tel équipage. Deux d’entre eux ont été débarqués tandis que Brahima Tounkara était ramené au CRA.

Le sens de l’humanité du ministre de l’Intérieur, des membres de son cabinet ou de la préfète de l’Essonne ne sont pour rien dans cette libération. Elle est d’abord le fruit de la solidarité. Celle d’habitants des Ulis qui, constatant qu’en l’absence de leur père, les enfants n’avaient pas à manger ont collecté de la nourriture. Celle des travailleurs sociaux qui accompagnent la famille, celle des 2000 signataires de la pétition demandant la libération de M. Tounkara, celle des élus qui sont intervenus auprès du ministre, celle aussi de la communauté malienne, présente à la cour d'appel, et qui envisageait des manifestations.

Cette victoire –parce que c’en est une sur l’injustice et la malfaisance-- est aussi, d’une certaine façon, celle de la mise sur la place publique de la réalité de la politique migratoire sous le quinquennat de François Hollande. La publication sur Le Plus de l’Obs d’une « Lettre ouverte à Bruno Le Roux, hier solidaire des enfants de sans papiers, aujourd’hui leur bourreau », l’invitation faite sur les listes RESF à adresser des mails aux responsables pour leur dire ce qu’on pense d’eux et de leur action ont évidemment été des éléments déterminants dans la décision de ne pas expulser Brahima Tounkara. A croire que certains de ces responsables partagent avec les vampires l’horreur de la lumière.

Quinze ans de présence en France, bientôt trois enfants nés en France, une réelle capacité à se faire respecter, même des ministres… aucun doute : Brahima Tounkara doit être régularisé !

+  jeudi 2 mars 2017- Communiqué de presse commun MRAP Paris et LDH Paris
Objet: Expulsions des occupants des bidonvilles de la Porte de la Chapelle
Présents sur place le matin du 28 février au moment de l'expulsion du bidonville de la Porte de la Chapelle,
nos associations signataires de ce communiqué souhaitent apporter les témoignages suivants à propos des conditions dans lesquelles a été menée l’expulsion de plusieurs dizaines de familles Roms présentes sur le site depuis plus de 8 mois.
Les services de police, arrivés dès 6h du matin, sont intervenus en intimant l'ordre de partir aux habitants.
Vers 7 heures, deux cars de la Préfecture sont arrivés pour proposer des hébergements provisoires : les équipes se sont alors étonnées que le terrain soit vide de tout habitant. La matinée s'est passée par la suite à discuter de la prise en charge de familles revenues entre temps aux alentours du bidonville.
Conformément à la circulaire du 26 août 2012, une telle opération de mise à l'abri aurait dû passer par un diagnostic social précis et un accompagnement des familles prévenant et transparent, sans nécessiter l'intervention d'une police
armée à 6 heures du matin alors même qu'aucun service chargé du relogement en hôtels n'était arrivé. Rien ne paraissait avoir été convenablement coordonné ce matin du 28 février. Nous déplorons que les hébergements de quelques jours proposés aient une nouvelle fois compromis gravement la continuité de la scolarisation des enfants en les envoyant en plusieurs points éloignés de l'Île de France. Cette désorganisation a fait revivre aux personnes - hommes, femmes et enfants- chassées, humiliées, désorientées, effrayées, parfois malades, un cauchemar qui ne fait que se renouveler de mois en mois depuis des années et qui empêche toute insertion durable dans la société.
Il est temps de cesser une politique aussi inhumaine et dégradante et de se tourner vers des solutions pérennes et viables.
La Mairie du 18e inaugure vendredi 3 mars une exposition autour de la fraternité nécessaire à l'égard des sans-abri. Nous demandons qu’à cette occasion des engagements soient pris par tous les responsables afin de permettre au plus vite la mise en oeuvre de propositions de solutions, restées sans réponse à ce jour, que certaines associations suggèrent
 
+ rappel transmis par LDH le 4/3: A l’occasion des 10 ans de la loi DALO, un collectif d’associations organise une mobilisation citoyenne et inter associative le dimanche 5 mars 2017, à Paris.Dans ce contexte d’élections présidentielles où les questions du mal logement sont quasi absentes, ce sera l’occasion de faire entendre la voix des mal logés, de dénoncer la non application de la loi et revendiquer une autre politique de logement, plus solidaire et à les hauteurs des besoins.  Rendez-vous donc le 5 mars, à 13h30, place de la République (devant la sortie 1 du métro). S’en suivra une marche à partir de 14h en direction du Conseil d’Etat (métro Palais Royal) où se tiendra un rassemblement avec prises de parole associatives et de ménages reconnus PU DALO. Un goûter est également prévu.  Nous comptons sur vous et sur votre implication pour faire de cette mobilisation une réussite !  Jean-François LE NEEN Chargé de mission Agence Ile-de-France    Tél. : 01 44 64 04 46 / 06 20 53 00 42- 78/80 rue de la Réunion 75020 Paris  fondation-abbe-pierre.fr
+13/2/17 : 
Habitat et Humanisme :  Action « Propriétaires et solidaires »
Habitat et Humanisme propose aux propriétaires de lui confier leur bien à louer, via son action « Propriétaires et solidaires » qui offre, une tranquillité de gestion, une fiscalité avantageuse et des aides à la rénovation – sous certaines conditions -, ainsi que la satisfaction d’agir contre le mal-logement !
- Voir également:
- SOLIBAIL : un dispositif d’intermédiation locative : http://www.logement.gouv.fr/spip.php?page=article-sous-site&id_article=54&sommaire=35
- Associations agrées pour l’intermédiation locative :http://www.logement.gouv.fr/IMG/pdf/liste_solibail_ministere_mai_2016.pdf
+Observatoire CRA Palaiseau  : 06 32 46 19 61  

 mail : contact@observatoire-cra-palaiseau.org   site : http://observatoirecrapal.jimdo.com

 Formation Juridique aux nouvelles règlementations du droit des étrangers (loi de mars 2016)
 
Samedi 25 février de 14h à 18h à la CIMADE* (Massy)

 Nous vous invitons à participer à une nouvelle après-midi de formation pour mieux comprendre la situation juridique des étrangers que nous rencontrons, soit au CRA soit en dautres occasions, et pour pouvoir mieux les aider.  La formation sera animée par des amis avocats, spécialistes en droit des étrangers. Il comprendra des exposés et discussions sur  le nouveau CESEDA (Code de l'Entrée et du Séjour des Etrangers et du Droit d'Asile), les Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF), la rétention, lassignation à résidence et la «procédure Dublin », le passage devant les différentes juridictions (tribunal administratif et tribunal de grande instance)et autres questions soulevées.
Pouvez-vous nous signaler votre participation ? (Possibilité de partager le déjeuner à partir de 12h30, chacun apportant sa contribution, salée, sucrée ou liquide, au repas)
(*) La Cimade :  80 Rue du 8 Mai 1945, 91300 Massy, RER B Massy-Palaiseau.

+LDH 15/2/17 : Appel à rassemblement "Avec Théo et les autres victimes" à l'initiative du Cran, LDH, Mrap, SOS Racisme, CGT et FSU :
le samedi 18 février 2017, à Paris, à 15h, place de la République

Vous trouverez ci-dessous l’appel à rassemblement national « Avec Théo et les autres victimes », organisé ce samedi 18 février 2017. A Paris, le rassemblement aura lieu à 15h, place de la République.
Nous vous appelons à organiser, partout en France, le même jour un rassemblement ou toute mobilisation permettant d’amplifier cette initiative. En vous remerciant par avance pour votre engagement à cette occasion.
Jean-François Mignard Secrétaire général - 138 rue Marcadet – 75018 Paris Tél. 01 56 55 51 00 – Fax : 01 42 55 51 21 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.www.ldh-france.org

  Avec Théo et les autres victimes : Rassemblement à Paris, samedi 18 février 2017, à 15h, place de la République.

A l’initiative des organisations suivantes : Cran, Ligue des droits de l’Homme, Mrap, SOS Racisme, CGT et FSU

Les faits qui se sont produits à Aulnay-sous-Bois sont graves. Le déni par les autorités policières, les déclarations racistes qui en ont suivi sont inacceptables. Inacceptables pour les premiers visés, qui supportent quotidiennement des contrôles dont chacun sait qu’ils n’ont qu’un très lointain rapport avec la réalité de la délinquance.
Inacceptables pour toutes celles et ceux qui souhaitent bénéficier d’une police respectueuse des personnes et de leurs droits, garante des libertés et de la sécurité publique. Inacceptables, enfin, pour la police elle-même, dont l’honneur est entaché par ces comportements.
Lorsque des agents ayant autorité outrepassent leurs droits et violent ceux des autres, ils menacent le pacte républicain qu’ils sont chargés de défendre.
Les faits qui se sont déroulés à Aulnay sont d’une exceptionnelle gravité. Mais ils sont loin d’être isolés. Il est temps d’y porter un coup d’arrêt, temps de réaliser qu’au-delà des faits incriminés, c’est l’ordre public lui-même qui est mis en cause, et, avec lui, la sécurité de toutes et tous.
Nous rappelons avec force que la loi puise sa force dans le fait qu’elle vaut pour tous et que la République n’a d’avenir que dans le respect de sa devise.
C’est pourquoi nous appelons toutes celles et ceux qui ont à cœur les valeurs d’humanité, toutes celles et ceux qui veulent opposer l’égalité et la fraternité au racisme et au mépris social, toutes celles et ceux qui jugent urgent de rétablir la confiance entre les citoyens et les forces de l’ordre, à organiser des rassemblements largement unitaires de solidarité et de protestation le samedi 18 février 2017, en soutien à Théo, contre des dérives policières auxquelles il faut porter un coup d’arrêt.
Nous appelons le gouvernement à prendre la mesure de la gravité des événements et à prendre en compte les propositions portées par la société civile en matière de lutte contre le racisme et de sécurité publique.

+ Fête de Noël à Appart City avec les familles hébergées, mardi 20/12
 + cercle de silence à Palaiseau le 3e samedi de chaque mois
+ Le Sofhseu accompagne les familles pour la rentrée scoalire
+ L'ASTI recherche des bénévoles , en particulier pour les cours d'alphabétisation..
+ Emmaüs des Ulis  a repris ses activités le 1er septembre, c'était la "bousculade"...
 
 + Appel à mobilisation A l’occasion des 10 ans de la loi DALO, un collectif d’associations organise une mobilisation citoyenne et inter associative le dimanche 5 mars 2017, à Paris. Dans ce contexte d’élections présidentielles où les questions du mal logement sont quasi absentes, ce sera l’occasion de faire entendre la voix des mal logés, de dénoncer la non application de la loi et revendiquer une autre politique de logement, plus solidaire et à les hauteurs des besoins.   
Rendez-vous donc le 5 mars à 13h30, place de la République (devant la sortie 1 du métro). S’en suivra une marche à partir de 14h en direction du Conseil d’Etat (métro Palais Royal) où se tiendra un rassemblement avec prises de parole associatives et de ménages reconnus PU DALO. Un goûter est également prévu.

Pour celles et ceux qui souhaiteraient nous donner un coup de main pour l’organisation de cette journée, vous pouvez nous le signaler par retour de mail. 
Nous comptons sur vous et sur votre implication pour faire de cette mobilisation une réussite ! 
Jean-François LE NEEN - Chargé de mission Agence Ile-de-France  Tél. : 01 44 64 04 46 / 06 20 53 00 42- 78/80 rue de la Réunion 75020 Paris  fondation-abbe-pierre.fr

+ Rassemblement du Collectif délinq uants solidaires (dont LDH, Emmaüs, Cimade), 9 février 10h-13h, Paris, place de la République
Délinquants solidaires : Si la solidarité avec les étrangers est un délit, alors nous sommes tous délinquants.
On assiste depuis plusieurs mois à la recrudescence de cas où la solidarité est considérée comme un délit. Procès de personnes venues en aide à des personnes étrangères, menaces de lourdes sanctions, mesures d’intimidation, poursuites, condamnations à Calais, à Paris, à Norrent-Fontes, à Boulogne, à Loos, à Nice, à Perpignan, à St-Etienne, à Meaux…
Face à l’inertie de l’État, les mouvements citoyens prennent de l’ampleur, mais la répression de la solidarité s’accentue.
Plus de 350 organisations associatives ou syndicales, nationales ou locales, ont signé un manifeste publié le 12 janvier 2017. Elles organisent partout en France et notamment à Lille le 8 février, à Paris le 9 février et à Nice le 10 février des rassemblements pour en finir avec le délit de solidarité.
Parallèlement une campagne digitale est lancée sur www.delinquantssolidaires.org pour manifester sa solidarité via les réseaux sociaux.
À Paris, le 9 février à 10h, place de la République, des représentants des associations signataires du manifeste et des délinquants solidaires seront présent, notamment :
??Thierry Kuhn (président d’Emmaüs France) ??Aubépine et Houssam, poursuivis en 2016 pour « organisation de manifestation illicite », finalement relaxés, et Mohammed, exilé vivant à Paris ??Léopold Jacquens, poursuivi pour avoir signé, en 2011, des attestations de logement au bénéfice d’une personne dont la demande de titre de séjour était en cours d’examen, relaxé par la Cour d’appel de Caen en novembre 2016
??Denis Lambert, accusé d’aide au séjour irrégulier pour avoir hébergé une famille arménienne entre janvier 2014 et juillet 2015 ; il leur aurait « en contrepartie » fait exécuter des tâches ménagères, ce que nie totalement l’intéressé, relaxé en 2015 ??François Loret, condamné avec Christian par le TGI de Meaux le 12 juin 2015 pour « violence à agent dépositaire de l’autorité publique » après avoir été pris dans une bousculade lors de la mise à l’abri de familles expulsées d’un bidonville en plein hiver à Noisiel (77) ??Jean-Luc Munro, poursuivi pour « violences à agent dépositaire de l’autorité publique avec arme par destination », l'arme étant le vélo avec lequel il se rendait dans un bidonville pour observer la destruction illégale de caravanes par la police
??Hubert Jourdan (à confirmer), de l’association Habitat et citoyenneté, qui accueille migrants et réfugiés à Nice ??Ibtissam, éducatrice dans un foyer pour mineurs isolés étrangers (MIE), mise à pied pour avoir dénoncé les conditions d'accueil dans cette structure où un jeune s'est suicidé ??Laëtitia, poursuivie pour « violence à agent » en novembre 2015 alors qu’elle observait pacifiquement une manifestation anti-migrants à Calais, finalement relaxée en 2017 ??Rob Lawrie, condamné le 14 janvier 2016 par le TGI de Boulogne-sur-Mer à 1 000 euros d’amende pour avoir tenté de permettre à une enfant de 4 ans de rejoindre sa famille au Royaume-Uni
??Georges Gumpel, enfant caché pendant la seconde Guerre mondiale
> Lire le manifeste et consulter la liste des associations signataires
Contacts presse : La Cimade - Rafael Flichman : +33 (0)1 44 18 72 62 - +33 (0)6 42 15 77 14 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Emmaüs France - Anne Dorsemaine : +33(0)6 1 07 33 37 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Gisti - Claudia Charles : +33 (0)1 43 14 84 83 - Violaine Carrère : +33(0)1 43 14 84 88 - +33 (0)6 74 34 03 85
Syndicat de la Magistrature - Patrick Henriot : +33 (0)6 98 87 74 78
 
+ 3 Fevrier 2017 -RESF91- Solidarite avec 3 refugies du Centre d'Hebergement d'Urgence de Massy mis en garde à vue
mercredi 1 fevrier pendant 9 heures. Leur delit : s'etre plaint des conditions d'hebergement.
+4 Fevrier , 2017 [RESF91]  Les lycéens d'Athis (91) solidaires d'Ingrid : ils ont gagné !

OQTF d'Ingrid ANNULEE !!!!Bravo à la mobilisation des lycéens et de leurs profs ! De la part d'Ingrid : un grand merci à vous tous qui avez signé la pétition.

Le 28 janvier 2017 à 10:59, Nadia Nguyen Quang <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.> a écrit : "Tous pour Ingrid ! », « Liberté, égalité, scolarité », « l’éducation est un droit, pas un combat ». Même griffonnés à la hâte sur des morceaux de carton, les mots gardent la même force. Dans un joyeux chahut, plusieurs dizaines de lycéens ont manifesté ce vendredi matin devant le lycée Marcel-Pagnol d’Athis-Mons. Une mobilisation en faveur de leur camarade Ingrid, élève de 1re de nationalité camerounaise, sous la menace d’une expulsion du territoire français."Pour lire la suite, c'est là : http://www.leparisien.fr/athis-mons-91200/des-lyceens-d-athis-mons-mobilises-pour-ingrid-leur-camarade-camerounaise-menacee-d-expulsion-27-01-2017-6627729.php#xtor=EREC-1481423488-[NL91]---${_id_connect_hash}@1>
 
+ Collectif Palestine 91 le 4/2/17 : Tous au rassemblement contre la colonisation galopante et la démolition des maisons palestiniennes !

Tout le monde condamne ou exprime ses "préoccupations" à ce sujet, mais personne ne bouge !
Ensemble, disons haut et fort, samedi prochain 11 février, que la poursuite de la collaboration entre la France et Israël, dans ces conditions, est INTOLÉRABLE !




Plus un seul jour sans démolition de maisons palestiniennes à Jérusalem Est et en Csjordanie, comme dans les villages bédouins, pour installer des logements pour colons à leur place. Nous vous attendons nombreux Place Edmond Michelet à Beaubourg SAMEDI 11 FÉVRIER DE 14H À 18H (jJuste en face du Centre Georges Pompidou, dans la rue "Le Boucher" qui mène à Beaubourg après avoir traversé le Bd Sebastopol) MÉTRO : Chatelet ou RER : Chatelet-Les Halles.


  + rappel de la LDH le 30/1/17 LDH 31 JANVIER 2017 : 22E RAPPORT SUR L'ETAT DU MAL-LOGEMENT DE LA FONDATION.
Le mardi 31 janvier 2017, la Fondation Abbé Pierre vous convie à son 22e rapport

Dès 09 heures 30, la Fondation Abbé Pierre présentera son 22e rapport sur l'État du mal-logement en France à La Grande Arche de La Défense, à Paris et dévoilera comme chaque année, les chiffres du mal-logement, en illustrant ses données par des situations de personnes mal logées.
Le manque criant de logements abordables, l'accueil inconditionnel et digne des personnes en errance, l'augmentation des expulsions locatives, l'encadrement des loyers, les conditions d'habitat dans les quartiers populaires... autant de sujets d'actualité qui seront évoqués en matinée, en présence de la ministre du Logement, Emmanuelle Cosse.
En cette année particulière d'échéances électorales, la Fondation Abbé Pierre reviendra sur la politique du logement menée pendant le quinquennat, depuis les promesses de campagne du Président de la République jusqu'à la fin de l'année 2016.

3,8 millions de personnes mal logées, 12 millions de personnes fragilisées par le logement...  Pour débattre des enjeux de la politique du logement à venir (gouvernance et financement), la Fondation recevra les principaux candidats à l'élection présidentielle de mai 2017.
Enfin, dans le cadre de sa campagne de mobilisation citoyenne
#OnAttendQuoi, la Fondation Abbé Pierre proposera dans ce rapport, 15 idées pour sortir de la crise du logement en dix ans, d'ici à 2027.
La Fondation mettra également en avant les bonnes pratiques et initiatives citoyennes ou associatives recensées sur tout le territoire afin de montrer qu'il est possible de construire une société plus fraternelle et plus juste et que des solutions existent pour faire du logement une priorité.

+transmis par l'ASTi des Ulis le 27/1/17 L’ACCES AU LOGEMENT DES MENAGES A BAS REVENUS EN ILE-DE-FRANCE : QUELLES SOLUTIONS ? Mardi 28 février 2017 de 9h15 à 12h30  A la Cité de Refuge de l’Armée du Salut12 rue Cantagrel – 75013 PARIS
+ LDH communique le 23/1/17: Conférence LDH, FIDH, CCR, ECCHR : "L'expérience américaine : l'outre-passement de la loi dans la lutte antiterroriste"
le 26 janvier, Paris 
https://www.fidh.org/IMG/pdf/informations_evenements_paris_torture.pdf

Merci de vous inscrire par mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.i - http://www.ldh-france.org/lexperience-americaine-loutre-passement-loi-lutte-antiterroriste/

 + ASTI communique le 29/1/17 :  Concert militant du CAU !

 Suite à la réunion plénière ce matin, nous avons le grand plaisir de vous annoncer la tenue d’un concert politique et militant qui aura lieu vendredi 24 février sur la Place de la République à Paris ! Le but est d’inscrire la lutte pour l’accès au logement dans les programmes des principaux candidats à la présidentielle ; ce sera ainsi une première occasion pour le Collectif d’avancer ses propositions concrètes. L’événement sera donc très militant, et s’inscrira dans la continuité de la stratégie CAU autour de l’Autre Campagne ! A M-1, nous vous proposons de nous organiser au mieux pour que l’événement soit une réussite et que les mal-logés pèsent vraiment dans l’actualité électorale. Dès lors, nous vous proposons plusieurs groupes de travail :

-          Un groupe action sur la stratégie de communication et l’organisation technique du concert
Une 1ère réunion aura lieu demain mercredi à 16h, au siège d’Aurore (34 bvd de Sébastopol, métro Réaumur Sébastopol)

 -          Un groupe de sélection de 5 propositions grand public du Collectif, qui travaillera à partir du document de propositions ci-joint.
Une 1ère réunion aura lieu lundi 30 janvier à 13h30 au siège de SoliHa (27 rue de La Rochefoucault, métro Pigalle ou St-Georges)

 -          La réunion des community managers, mercredi 1er février à 14h30 (lieu à confirmer), sera davantage consacrée à la campagne Préjugés, avec une ouverture en cohérence avec la mobilisation virale autour du concert.

 Si vous le souhaitez, merci de me confirmer votre présence à ces temps d’échanges, ou votre volonté de vous inscrire dans un groupe pour pouvoir suivre nos échanges par la suite !
D’avance, merci pour vos retours,   Clémentine Sinquin - Coordinatrice du Collectif des Associations Unies Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

+ 23/1/17 LDH  vous invite à un débat sur le thème « la surveillance de masse et ses conséquences sur les libertés individuelles et collectives» Avec Adrienne Charmet, Porte-parole et coordinatrice de La Quadrature du Net  Qui aura lieu le Lundi 30 janvier 2017 de 19h30 à 22h  au Maltais Rouge- 40 rue de Malte, Paris 11e (métro : République/Oberkampf)  La réunion se terminera par un temps consacré à la vie de la section et nous ferons un point sur les initiatives nationales à venir.
N'hésitez pas à diffuser l'invitation et à faire venir vos amis, et vos connaissances. 

Section Paris 10/11 Ligue des droits de l'Homme Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

+ LDH vendredi 13 janvier 2017 Marche "Dans la rue on meurt Un toit c'est la loi !" : le samedi 14 janvier, à Paris, 15h à l'Hôtel de Ville
  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.   Un toit c'est la loi !

La loi prévoit que toute personne sans logis en situation de détresse doit être hébergée, puis orientée vers un relogement, un hébergement stable ou une structure de soin. L'État,  et les départements pour les mineurs et les familles avec enfants, bafouent ce droit à l’accueil.
Malgré l'augmentation des moyens financiers de l'état,  de plus en plus de femmes, d'enfants, de personnes âgées, de personnes malades ou en souffrance mentale, sont laissées à la rue. On y  meurt à petit feu : 15 ans d'espérance de vie pour un sans-abri, âge moyen de décès 45 ans.

Logement : c'est la crise !
En effet, il y a de plus en plus de sans logis, conséquence de la cherté des loyers et de la spéculation immobilière (par exemple le projet « Cœur de Paris » sur l’ile de la Cité), de la hausse des expulsions, de l'insuffisance de HLM, du chômage et de la baisse des APL et des revenus des locataire  ou des accédants ...  mais aussi des guerres militaires ou économiques, ou du dérèglement climatique.
L'occupation de l'Hôtel Dieu à Paris samedi dernier par des sans-logis, a permis de mettre à l'abri immédiatement 50 personnes, qui ont fait des demandes de logement social, qui pour la plupart ont un emploi.
A Toulouse, mercredi un pavillon de l’hôpital La Grave a été occupé par 70 sans logis DAL. Il y a des solutions immédiates, il faut agir !

Le mot hôpital, vient du mot "hospitalité" :
La plupart des salles sont vides à l'hôtel Dieu. Cet hôpital historique et prestigieux est menacé. C'est le cas pour d’autres hôpitaux en ile de France, et dans tout le pays, car le secteur santé subit une restructuration brutale, comme tous les services publics.
Notre pays compte 2,9 millions de logements vacants, (900 000 de plus en 10 ans), 5 millions de m2 de locaux et de logements publics souvent chauffés, sans compter les bureaux vides !
Ces « vacants » publics comme ceux des grande entreprises ou des riches propriétaires doivent être mis à disposition ou réquisitionnés  pour accueillir les sans logis, français, immigrés, réfugiées, avec ou sans papier ! ...

Marchons ensemble samedi pour  :
Ouverture des salles vides de l'hôtel Dieu, et rétablissement des activités médicales pour tous !

  • Abandon du projet « cœur de Paris [1]» qui transforme l’ile de la cité en parc à touristes de luxe !
  • Mobilisation /réquisition des locaux vacants des hôpitaux en ile de France et dans tout le pays, et des logements vides publics ou détenus par de grands propriétaires !
  • Encadrement à la baisse des loyers et des charges, et arrêt des expulsions sans relogement !
  • Respect du droit à l'hébergement et de la loi DALO !
  • Réalisation massive de logements sociaux avec hausse du financement ! …

 Premiers signataires : DAL, CGT Paris, Solidaires, AFVS, AMELIOR (BiffinEs), APEIS, Bagagérue, CGT chômeurs, COPAF, CRLDHT, FTCR, LDH, MNCP, SUD santé sociaux, … Avec le soutien de : EELV IdF, Ensemble, PCF 75  …
[1] Le projet « Cœur de Paris », vise à privatiser l’ile de la cité pour en faire un parc à touristes, avec commerce et hôtels de luxe, grâce au déménagement du palais de justice, de la préfecture de police et la dévitalisation de l’hôtel Dieu … voire  http://www.missioniledelacite.paris/les-grande-evolutions-a-venir/  ou    http://www.lejdd.fr/JDD-Paris/A-Paris-un-projet-spectaculaire-pour-l-ile-de-la-Cite-833143

 
+ RESF 12/1/17 : sortie de mon livre De rêves et de papiers, 547 jours avec les mineurs isolés étrangers aux éditions La Découverte
 
Il y a environ deux ans, j'ai commencé à écrire des histoires. Les histoires de jeunes exilés que j'ai eu la chance de rencontrer, dans un bureau très particulier où ils devaient prouver qu'ils avaient moins de dix-huit ans et qu'ils étaient tout seuls en France. Ces histoires ont fini par composer un long format dans Libération en mars dernier, et maintenant un livre...
 
La sortie officielle est demain, jeudi 12 janvier! Vous pourrez donc le trouver dans toutes les librairies. Dans les plus grandes, il sera normalement en rayon, pour les plus petites, vous pouvez le commander au libraire, comme ça il en entendra parler! Si le temps vous manque vous pouvez le commander sur internet, mais je vous conseille le site indépendant de libraires, pour éviter le grand méchant Amazon...
J'ai eu l'occasion d'en parler sur France info, TV5 Monde, et RCF. Il vous suffit de cliquer sur les liens si vous voulez réécouter les interviews. Pour suivre les actus autour du livre, il y a une page facebook.
Pour les Parisien-ne-s, deux rencontres sont dores et déjà prévues : 
- Jeudi 12 janvier (demain) de 18h à 21h au café Les Turbulentes, 15 ème arrondissement.
- Lundi 30 janvier à 19h à La Libreria, 9ème arrondissement.
D'autres s'organisent à Quimper, Toulouse, Genève, Lille... Elles seront annoncées sur la page facebook et sur le site de l'éditeur. 
N'hésitez pas à faire tourner ce mail dans vos réseaux!
J'en profite, enfin, pour vous souhaiter une très belle année 2017.Rozenn

"Dans ce bureau, on accueille les jeunes se présentant comme mineur isolé étranger – un statut qui garantit hébergement et scolarité. L’administration exige des preuves mais, entre ces murs, résonnent surtout des voix d’enfants qui n’ont rien d’autre qu’un récit : celui de leur périple à travers les frontières et les périls qu’elles dissimulent. Parmi ces voix, celle de Souley, 16 ans, qui a traversé le Sahara et la Méditerranée pour arriver là et prétendre lui aussi à un toit et une éducation. Ce livre propose d’aller à la rencontre de jeunes filles et garçons malmenés par l’exil et le labyrinthe administratif français, mais qui parviennent petit à petit à se reconstruire, à sourire et danser, à être pénibles et idiots comme des adolescents, à ne plus avoir peur. À vivre au lieu de survivre."

De rêves et de papiersExtrait de la quatrième de couverture

+ A Évry, une journée consacrée aux migrants et aux réfugiés avec Young Caritas, la branche des jeunes du Secours catholique.
(DR)
(DR)

L’événement, qui entend informer et provoquer des rencontres autour de la question des migrations, aura lieu à la salle de conférences de la cathédrale d’Évry, ce samedi 14 janvier. Il est organisé par Young Caritas, la branche des jeunes du Secours catholique.

Cette journée spéciale et ouverte à tous a plusieurs objectifs, pour Young Caritas Essonne. L’un d’entre eux est de « montrer la présence et informer sur les actions des Young Caritas en Île-de-France ». L’association a déjà fait preuve, par le passé, de son engagement envers les migrants et sans-papiers, en soutenant leurs démarches administratives ou tout simplement en leur apportant café et couvertures, tôt le matin, à l’heure à laquelle se forment les premières queues à la préfecture d’Évry.

L’objectif de l’événement est également pour l’association catholique de « montrer [sa] solidarité avec les migrants, en n’oubliant pas le contexte politique avec les élections présidentielles qui arrivent en 2017 ».
Au menu de la journée, qui s’annonce bien remplie, des conférences, animations et des expos autour des thèmes de la migration. Les animations auront lieu de 14 à 17 heures. Au programme : un jeu de l’oie géant sur le thème des demandeurs d’asile et des réfugiés, un carrefour témoignage, une animation autour de la loi Dublin, un jeu autour des inégalités liées à la migration, une expo, une réalisation en graff, réalisé en direct par une jeune artiste…

De 17 heures à 18h30, le programme sera consacré aux conférences et débats, sur le thème : « Acteurs et partenaires du Secours catholique – Caritas France, comment agir localement en Île-De-France pour faciliter la rencontre avec les migrants? » avec de nombreux intervenants, dont Marjolaine Rauze, maire de Morsang-sur-Orge, et Jean-Pierre Guillotin, Service migrant du Secours catholique de l’Essonne. Boubacar Bah, réfugié en France, témoignera de son expérience.
Dans le même temps se déroulera une animation pour les enfants.

La journée s’achèvera à partir de 19h00 en partageant un repas « Saveurs du Monde » concocté par des jeunes de Grigny.
Enfin, de 20h30 à 22h30, il est normalement prévu une soirée festive.

 12 janvier 2017  FASTI / APPEL A MOBILISATION / La solidarité est un devoir, pas un délit ! La solidarité est un devoir, pas un délit !

Un jour viendra où Cédric Herrou et tou-te-s les citoyen-ne-s solidaires de la vallée de la Roya seront officiellement honoré-e-s de la médaille des "JUSTES" pour leur humanité. Dans la vallée de la Roya à la frontière franco-italienne, un réseau de citoyen-ne-s secourt les migrant-e-s dont beaucoup de jeunes non accompagné-e-s,  la plupart érythréens, soudanais, somaliens et tchadiens qui tentent de rejoindre la France pour demander l'asile. Il est réconfortant de constater la forte mobilisation de ces habitant-e-s. En poursuivant Cédric Herrou et ses camarades, la Justice française veut briser cette solidarité active. Après la chasse aux migrant-e-s, ce sont les citoyen-ne-s solidaires qui sont pourchassé-e-s. La FASTI soutient totalement ces "résistant-e-s" qui aident des personnes en grande détresse, par simple humanité en s'appuyant sur les valeurs de la République.

La FASTI appelle à amplifier notre soutien sans faille à tous les citoyen-ne-s solidaires et exige la relaxe immédiate de tou-te-s les prévenu-e-s.
La FASTI appelle toutes les ASTI à se mobiliser dans le cadre de l'action nationale du collectif "Délinquants Solidaires" dont elle est partie prenante.
La FASTI appelle les ASTI notamment celles du Sud et Sud-est à se présenter devant les tribunaux  lors des comparutions des prévenu-e-s en manifestant leur soutien.

N'hésitez pas à relayer à la fédération toutes les initiatives que vous prendrez comme l'a déjà fait l'Astipa de Guyane.
Le Bureau fédéral

 + Châlons RESF <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.> Communiqué de presse  lundi 9 janvier 2017 d’Alan Kurdi à Denko Sissoko, les ravages mortels d’une politique migratoire inhumaine
Tout le monde a dans les yeux le petit corps d’Alan sur une plage de Turquie le 2 septembre 2015. Vendredi 6 janvier 2017, c’est à Châlons-en-Champagne, sur le bitume du trottoir, au pied du foyer Bellevue, foyer d’accueil des Mineurs Isolés Etrangers, que le corps sans vie du jeune Denko âgé de 16 ans, a été ramassé. Selon ses amis, il venait de se jeter du 8ème étage pour échapper à la police dont il pensait qu’elle venait le chercher.
 
L’un était Syrien, l’autre Malien. Leurs points communs ? C’étaient des enfants qui avaient fui un pays dans lequel ils n’avaient pas d’avenir pour vivre en sécurité ici au terme d’un voyage difficile. Tous deux viennent grossir le nombre des victimes innocentes de la politique migratoire inhumaine orchestrée par les institutions de notre pays et de notre continent. 
 
Il était arrivé en France en octobre 2016, après un voyage long et périlleux en partance du Mali en passant par la Libye et l’Italie ; il aimait rire, bavarder, écouter de la musique africaine. Il a attendu 1 an et demi en Italie de réunir l’argent nécessaire pour rejoindre la France. C’était son vœu. Hélas ! Il a encore attendu 2 mois et demi à Châlons dans les services de la protection de l’enfance qu’on l’évalue puis qu’on lui signifie que sa minorité n’était pas reconnue et qu’il ne serait pas pris en charge. Il l’avait appris la veille. Ne sachant pas où aller, il n’aurait pas voulu quitter le foyer. Dans ces cas-là, la police est sollicitée…
 
Ses camarades sont formels : Denko n’était pas malade, ni drogué, ni fou. Son geste n’est pas celui d’un dépressif. Ce n’était pas non plus un criminel, ni un malfrat, il n’avait rien à se reprocher. Il s’est jeté du 8ème parce que, comme un jeune de 16 ans, moralement très structuré et qui a, en outre, assimilé l’impératif et la mission de réussir en France, il n’aurait pas supporté l’idée humiliante qu’on vienne l’arrêter et le mettre en prison.
 
Ce drame met en lumière la tragédie que vivent ces jeunes étrangers livrés au tamis de l’évaluation et de la pression institutionnelle, maltraités, suspectés, dénigrés, parce que la France ne veut pas les accueillir. L’Etat se dédouane de ses responsabilités, les conseils départementaux trient et rejettent par souci d’économies budgétaires. Les jeunes se retrouvent à la rue, errent de ville en ville, sans avenir, et ils en meurent. Et même quand ils sont pris en charge, l’accompagnement est insuffisant, la suspicion continue et l’angoisse du lendemain n’est jamais levée tout à fait. L’Etat et le Conseil Départemental sont coupables de non-assistance à jeunesse en danger.
Ils espéraient d’autres horizons. Nous espérons pour eux d’autres perspectives, ils ont franchi des mers et leur maturité, leur courage, leur volonté de vivre ici, sont déjà un cadeau pour la France !
L’heure est à la peine pour tous ces jeunes venus d’ailleurs qui ont assisté au drame, et nous partageons leur deuil. Mercredi 11 janvier aura lieu une marche silencieuse en hommage à celui que tout le monde appelait Sissoko. Le rendez-vous est fixé à 15 heures, rue Carnot, devant le conseil départemental de la Marne. Nous invitons tous ceux qui ne se résignent pas à ce que la politique migratoire tue des enfants à nous rejoindre.
http://ilsappelaitdenkosissoko.hautetfort.com/  RESF Châlons-en-Champagne <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.> contact presse Marie-Pierre BARRIERE 06 79 50 29 87 / Catherine TANGUY 07 76 79 45 10)

+ RESF91 Nadia  Vient de paraître: revue JMM nº 2 

J’ai le plaisir de partager avec vous le numéro 2 de la revue Jeunes et Mineurs en Mobilité, disponible pour téléchargement sur le lien suivant:A lire. Intéressant.
Je tiens à rappeler que cette revue entend établir un espace de dialogue entre monde universitaire, acteurs professionnels et jeunes migrants eux-mêmes. Vos éventuelles suggestions de collaboration sont les bienvenues.
Pour info le numéro 3 coordonnée par Nelly Robin et Florian Aumond est en phase bien avancée et nous commençons dès maintenant la préparation du numéro 4 qui portera sur l’accès è l’éducation et la formation professionnelle des MIE.
En vous souhaitant une très bonne lecture,
 Daniel Senovilla Hernández IR CNRS- MIGRINTER- Université de Poitiers
Coordinateur de l’Observatoire de la Migration de Mineurs- OMM; Responsable éditorial de la revue Jeunes et Mineurs en Mobilité http://omm.hypotheses.org   daniel.senovilla@univ-poitiers.fr

+ Observatoire CRA Palaiseau : De nombreux Palaisiens ignorent encore lexistence à Palaiseau dun centre de rétention pour étrangers. LObservatoire Citoyen soutient ces personnes. Il anime, chaque 3ème samedi du mois, de 11 à 12h, un cercle de silence pour faire entendre le cri des détenus. Ce Cercle est ouvert à tous. Vous pouvez le rejoindre à tout moment, quelle que soit la durée de votre participation.

 Nous dénonçons les traitements inhumains réservés aux migrants du seul fait qu’ils n’ont pas de papiers en règle.

Nous n’acceptons pas que soient prises en notre nom des dispositions qui brisent des vies humaines et font voler en éclat des couples et des familles.

Nous  refusons  les  interpellations  au  faciès, l’enfermement et l’expulsion d’hommes, de femmes et même d’enfants.

Nous dénonçons les conditions de détention inhumaines dans les centres de rétention administrative et les zones d’attente des aéroports et, avant tout, leur existence.

Nous n’acceptons pas que la France refuse sa protection aux demandeurs d’asile qui sont exposés à de très graves dangers en cas de retour dans leur pays d’origine.

Nous dénonçons les obstacles administratifs qui contraignent des hommes, des femmes, des familles entières à vivre et à travailler dans la clandestinité et la peur, privés de tout projet et de conditions de vie simplement décentes.

Nous refusons cette chasse aux étrangers qui inflige aussi des traumatismes profonds à ceux qui en sont les témoins, à la société toute entière, aux enfants particulièrement.

Les atteintes à la dignité de quelques uns blessent tous les hommes dans leur humanité.

Nous voulons que la France redevienne un pays d’accueil, sans cesse enrichi et transformé par des êtres humains venus du monde entier.

Nous sommes solidaires des retenus du Centre de rétention de Palaiseau.

 
 Communiqué de lObservatoire Citoyen du Cra de Palaiseau

Le vendredi 3 juin en fin de matinée, un incendie sest déclaré dans deux chambres  du  CRA  de Palaiseau,  asphyxiant trois personnes et nécessitant lévacuation momentanée du centre.  Aujourdhui le CRA vient de  fermer pour des travaux de sécurisation, temporairement malheureusement- .
Ce printemps, tentatives de suicide notamment par pendaison,
  absorptions de piles ou dobjets métalliques divers, scarifications, grèves de la faim  se sont succédé.  Ces actes nont rien danodin.  Même  sils ne sont malheureusement pas nouveaux.  De nombreuses fois en 2009,  2011, et notamment en 2012,  à la suite dun incendie provoqué par un retenu qui sétait également tailladé la gorge,  nous  avons tiré  le signal dalarme, et alerté la société civile et les autorités  compétentes de notre inquiétude face aux dangers que couraient les retenus en  attentant  à leur vie, en poursuivant  une grève de la faim ou en sautomutilant.
Que répondent les autorités ?
  Les préfets continuent dédicter les arrêtés dexpulsion, la justice le plus souvent   maintient  ces décisions,  ladministration  exécute   en demandant encore plus de moyens de «sécurisation ».
Ne considérer ces actes
  que comme des simulacres, comme le déclare un policier du Syndicat Alliance  dans le Parisien du 12/06, peut conduire à une tragédie qui jusque-là a été évitée de justesse.
Et qu
en est-il  de ces hommes ?  Rappelons que depuis la loi du 31 décembre 2012, être sans papier en France nest plus un délit. Les retenus ne sont donc pas des délinquants. Pour autant ils ne sont pas libres de leurs mouvements, et enfermés.  Ils  vivent dans lattente de leur expulsion nuit et jour, entre leurs passages dans les différents tribunaux où  ils essayent de faire reconnaitre leurs droits. Cette attente peut durer jusquà  45 interminables jours.
Certains sortent de prison après avoir purgé une peine et découvrent
  à   leur libération quils vont être expulsés. Ils vivent le fait dêtre soumis à cette double peine comme intolérable.  Rappelons que le CRA de Palaiseau a été initialement construit pour accueillir en partie des anciens détenus, vu sa proximité avec les prisons de Fresnes et de Fleury-Merogis.
Depuis six ans maintenant, des dizaines de visiteurs bénévoles
  de lObservatoire citoyen  ont rencontré  au CRA de Palaiseau des hommes qui  sont   très stressés, et  ne supportent pas  lenfermement et davoir à quitter un pays où ils ont choisi de vivre et ont  construit des liens familiaux et sociaux.
  Pour nous joindre: tél. 06 32 46 19 61 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - http://observatoirecrapal.jimdo.com

 
[ATTAC-IDF] Nuit Debout, Attac, Stop TAFTA le 4 juin
>Bonjour à toutes et à tous, Ce samedi 4 juin aura lieu une journée de mobilisation contre les accords transatlantiques : Nuit Debout appelle les élus parisiens à voter une motion "hors CETA et TAFTA".
Nuit Debout Paris s'est très rapidement emparée des enjeux de commerce et d'investissement à travers les traités transatlantiques, et s'est d'ores et déjà déclarée symboliquement "zone hors CETA et TAFTA".
A l'initiative des Commissions AvocatsDebout, Économie, Écologie et du Collectif Stop TAFTA, une journée thématique sur les deux projets d'accords transatlantiques se tiendra sur la Place de la République le samedi 4 juin. Vous trouverez en PJ la déclaration "NuitDebout se déclare zone Hors CETA/TAFTA".
L'objectif de cette journée est double. Il s'agit d'une part de renforcer le travail d'information autour des impacts sociaux, sanitaires et environnementaux de ces traités négociés en toute opacité. D'autre part, les participants appelleront la municipalité de Paris à voter une nouvelle motion hors traités transatlantiques et à cet effet adresseront aux élus de la capitale une lettre ouverte. De manière générale, nous appelons toutes les initiatives Nuit Debout à interpeller leurs élus locaux pour que les villes de France rejoignent les 700 autres collectivités territoriales hors TAFTA/CETA à travers la France.
Vous trouverez, ci-joint, la déclaration publique Nuit Debout Hors CETA/TAFTA ainsi que la lettre ouverte aux élus de Paris.
 
Programme de la journée du 4 juin, Place de la République :
  • 14h : Atelier pédagogique animé par le collectif Stop TAFTA "CETA, TAFTA : de quoi s'agit-il ?"
  • 15h : OrchestreDebout 
  • 16h -18h : AG : débats avec de nombreux intervenants des secteurs touchés par les traités (Confédération Paysanne, Attac France, Amis de la Terre, Thomas Porcher, ...)
  • 17h : Atelier "prochaines étapes" : stratégie et actions concrètes à mener 
  • 18h : lecture de la lettre ouverte à la Maire de Paris pour déclarer Paris Zone Hors CETA TAFTA & final en musique
Lien événement Facebook : https://www.facebook.com/events/283325425334038/
>
On a besoin de vous : l'organisation logistique de cette journée commencera dès midi sur la Place de la République.
> On vous attend nombreux pour participer à cette journée importante contre les accords transatlantiques !
 
 
RENCONTRE-DÉBAT - MERCREDI 13 AVRIL 2016 - DE 14H30 A 17H00
 
 
  "Quand on est malade, on reste à la maison, mais quand c'est le logement qui rend malade ? "
C'est par cette campagne de sensibilisation, lancée en 2007, que la Fondation Abbé Pierre souhaitait attirer l'attention des citoyens sur les conséquences négatives du mal-logement en matière de santé. Les liens entre problèmes de logement et de santé sont évidents lorsque l'on se penche sur l'état de santé des personnes en situation de mal-logement, de précarité énergétique, qu'elles habitent un logement indigne, insalubre ou un appartement situé dans une copropriété dégradée.
 
 
Malgré leur interdépendance, logement et santé constituent aujourd'hui deux mondes séparés par les politiques publiques qui les régissent, par les professionnels qui les mettent en oeuvre... Pourtant, des phénomènes comme l'allongement de la durée de vie, le développement de la médecine ambulatoire ou la sectorisation psychiatrique tendent à rapprocher ces deux questions. De plus, en matière d'accès aux soins comme d'accès au logement, la question des inégalités taraude désormais les deux secteurs et constitue une opportunité de rapprochement entre les acteurs. Pour plaider en ce sens, le 21ème rapport de la Fondation Abbé Pierre a documenté l'imbrication étroite entre problèmes de santé et de logement, en prenant appui sur une littérature scientifique importante autant que sur le vécu des personnes et des acteurs sociaux confrontés à ces enjeux.
 
+ LDH Communiqué LDH Paris du 29 mars  2016   : Se loger est pour chacun une nécessité vitale

Spéculer sur cette nécessité pour en faire une marchandise rentable est particulièrement scandaleux.

Cette année encore, au 31 mars, interviendra la fin de la trêve hivernale et donc à nouveau, dès le 1er avril, la reprise des expulsions locatives qui frappent les locataires du parc social comme du parc privé en impayés de loyers. Ces procédures d’expulsion sont en constante augmentation d’une année sur l’autre, proches des 130 000 décisions de justice, dont au moins 12 000 d’entre elles seront exécutées avec le concours des forces de l’ordre.

Ces expulsions locatives, sans propositions de relogement, auxquelles s’ajoutent les évacuations de terrains, squats ou bidonvilles, sans solutions dignes quand il ne reste que la rue comme refuge, vont venir gonfler la demande d’hébergement d’urgence gérée par le 115 qui se traduit par 40 000 nuitées en hôtel par jour, en hausse de 23 % en 2015 après des hausses de 27 % en 2013 et 2014. Chaque mois, ce sont aussi des centaines de femmes, parfois avec enfants, qui appellent en vain le 115.

Alors que les salaires stagnent, que le chômage perdure, les loyers privés, eux, ont augmenté de  57 % en quinze ans, entraînés par la pénurie de logements dont l’offre est dramatiquement insuffisante dans les zones tendues comme la région Ile-de-France. Cette tension sur les loyers et les charges locatives conduit à un taux d’effort excessif. Ainsi pour 3 millions de ménages, les charges atteignent 35% de leurs ressources et leur laissent un « reste à vivre » inférieur à 650 €.

Cette situation est due à une politique du logement orientée par les besoins du marché immobilier, à qui on confie le soin de loger les Français, et non par la demande sociale que ce même marché est incapable de satisfaire. On constate en effet :

- le désengagement de l’Etat dans l’aide à la construction de logements sociaux (à peine plus de 700 logements « très sociaux » ont été programmés en 2015, alors que 3 000 étaient attendus) ;

- l’acharnement soutenu du gouvernement à vouloir faire des économies sur les aides au logement dont ont  besoin les ménages pauvres et modestes ;

- le soutien sans faille à l’activité du marché immobilier par des dépenses nouvelles, comme le dispositif de défiscalisation Pinel (50 000 logements construits en 2015), qui profite principalement aux classes moyennes supérieures, voire aux ménages les plus aisés, ou encore les avantages fiscaux significatifs accordés aux banques et aux compagnies d’assurances dans l’espoir de les inciter à investir dans la pierre. Ces dépenses ont comme justificatifs  de proposer à la classe moyenne qui n’a pas les moyens d’accéder à la propriété, des loyers supérieurs aux loyers PLS des HLM mais inférieurs à ceux du marché.
Cet espoir de relance de la construction par le capital privé qui coûte cher au contribuable (18 milliards d’euros) est - hélas ! - toujours déçu, quand on voit que la construction stagne pour atteindre péniblement 351 000 logements mis en chantier en 2015, sans réel ciblage géographique ou social de la production.
La Ligue des droits de l’Homme dénonce cette politique qui accroît les inégalités, exclut de l’accès au logement des millions de personnes à cause du manque de constructions et des prix trop élevés à l’achat comme à la location.
La LDH dénonce l’absence de volonté politique pour rendre effectif, pour tous, le droit au logement.

Un habitat digne pour chacun, garanti par la solidarité du corps social, est un préalable à l’accès à une citoyenneté effective, combat permanent de la Ligue des droits de l’Homme.

+++ journée sur le thème du LOGEMENT, Samedi 19 mars 2016, 138 rue Marcadet PARIS

 Le groupe de travail sur le Logement de la Ligue des Droits de l'Homme propose une journée de formation aux adhérents et à leurs amis. Cette journée sera l'occasion de présenter les grands principes et les problématiques actuelles des politiques publiques en matière de logement. La première partie sera consacrée à des points de vue de chercheurs à l'échelle nationale. La deuxième partie mettra en débat les pratiques du monde du logement social à l'échelle de deux grandes métropoles (Paris et Bordeaux). Il sera essayé au cours de la journée de répondre à quelques questions :
Qu'en est-il aujourd'hui du logement en France ; s'il y a crise du logement, quelles formes prend-t-elle ? Les politiques publiques répondent-elles aux besoins ? Les perceptions du logement sont-elles déterminantes ? Qu'y-a-t-il de social dans le « logement social » ? Quels sont les nouveaux rapports de force et les déséquilibres ?

+   Des départs groupés pour la manif contre la loi travail     plus d'infos sur Essonne Infos du 31/3/16  en particulier Les Ulis :12h à L’Essouriau et 12h30 à Courtaboeuf, 3 avenue des Indes.

   ++ Invitation pour la prochaine réunion publique de l’Observatoire de l’enfermement des Etrangers-OEE- Pouvez-vous relayer largement cette invitation ? Il serait particulièrement intéressant de profiter des échanges pour partager l’expérience de terrain des associations ou collectifs locaux, tant ces nouvelles formes de privation d’aller et venir sont obscures. Merci de bien vouloir diffuser le plus largement possible.Solidairement, Anna 
 

3- quelques actions sur la France et Europe

EN 2017, QUE FAIT-ON POUR LES ENFANTS ?

Accompagner tous les enfants et les jeunes vers un meilleur respect de leurs droits
implique des choix humains et politiques. Les enfants ne peuvent se constituer en lobby. Alors, pour eux et grâce à eux, l’UNICEF France adresse 8 propositions aux candidats à l’élection présidentielle. Car pour vivre ensemble, il faut pouvoir grandir ensemble.

DÉCOUVREZ NOS 8 PROPOSITIONS  AU FUTUR PRÉSIDENT DE LA

 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

#nfants2017 + Je deviens membre d'Amnesty International en 2017

 
Indépendant grâce
 
 
 
 
En 2017,
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Vous avez fait le choix d'agir avec nous pour soutenir les personnes dont les droits sont bafoués et je tiens à vous en remercier de tout coeur.

Vous pouvez être fier(e) de faire partie de ceux qui se mobilisent. Quand beaucoup de personnes se résignent à ne rien faire face à la violence du monde, vous êtes de ceux qui agissent afin de tenter de changer la vie de personnes en danger.

Je m’adresse aujourd’hui à vous afin de vous proposer de devenir membre de l’association Amnesty International France, par le biais d’un versement mensuel de 10€, par exemple, par prélèvement automatique.

En acceptant de nous soutenir chaque mois, vous nous donnez  les moyens d’agir en toute indépendance, afin par exemple
d’appeler à la libération de prisonniers d’opinion, à faire cesser les actes de tortures ou encore à défendre la liberté d’expression.

En devenant membre d’Amnesty International, nous vous donnons les moyens d'agir à nos côtés. Vous aurez accès
à une information exclusive via notre site extranet, notamment des propositions pour participer à nos campagnes et actions.

Vous recevrez également votre carte de membre qui vous permettra de participer à la gouvernance de l’association et de contribuer aux choix des grands combats à mener pour plus de respect des droits humains dans le monde.  En 2017, rejoignez Amnesty International.

 
 
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  J’espère vous compter parmi nos prochains membres !  Merci de votre soutien si précieux.

+RESF91: "l’asile est un droit" L'Appel "A Calais, l'Etat tombe le masque" est publié

https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/010316/calais-l-etat-tombe-le-masque


Pour le signer à titre individuel: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


?A Calais, l’Etat tombe le masque? : De nombreuses personnalités et organisations dénoncent «un "démantèlement" qui vient de commencer qui n’a rien de progressif ou d'humanitaire». Il y a urgence à exposer comment l’Etat passe outre l’Etat de droit à Calais. «L’asile est un droit ; la répression des réfugiés est donc un déni de démocratie».

 La destruction de la « jungle » de Calais a brutalement commencé ce lundi 29 février au matin. Plusieurs compagnies de CRS ont investi les lieux, qui ont dévasté des cabanes encore occupées, lancé des grenades lacrymogènes et usé de canons à eau contre des réfugiés grimpés sur les toits de leurs abris. Des centaines de personnes ont été jetées dans un froid glacial sans rien d'autre que les vêtements qu'elles portent sur elles, sans savoir où aller... Faut-il s’en étonner ?

Les pouvoirs publics ont écarté tout témoin : les soutiens des réfugiés ont été interdits d'entrée dans le périmètre de l'opération. Le ministre de l’Intérieur n'a cessé de le proclamer ces jours derniers : certes, il entendait mener à bonne fin ce qu'il appelle « la résorption » du camp de Calais ; mais il voulait le faire « de façon progressive » et « dans le respect des personnes » [voir entre autres son discours du 22 février au Mans]. Et c'est bien en se référant expressément à cet engagement de l'État à procéder à une évacuation progressive que le Tribunal administratif de Lille a validé l'arrêté d'expulsion de la jungle de Calais (25 février 2016, ordonnance n° 1601386).

Force est de constater que le « démantèlement » qui vient de commencer n’a rien de progressif ou d'humanitaire, et qu'il ne prend pas en compte la situation des personnes : les choses se déroulent comme s'il s'agissait de punir quiconque s'obstine à vouloir se rendre en Grande-Bretagne. Rappelons qu'un quart des habitants de la jungle de Calais aurait des proches outre-Manche ; ils seraient donc parfaitement fondés à demander à les rejoindre... Mais de même que la Turquie est priée de faire le garde-frontière de l'Union européenne, la France se charge de « protéger » la Grande-Bretagne, à grand renfort de moyens policiers quasi militaires, contre les migrants que celle-ci refuse d’accueillir.

La première a-t-elle voulu donner des gages à la seconde, en perspective du sommet franco-britannique qui aura lieu ce 3 mars ? Quant aux autres, leur méfiance face aux « solutions » alternatives qui leur ont été présentées ne peut qu'être confortée par la violence mise en œuvre pour les chasser. « Les services de l’État se mobilisent sans relâche pour permettre à tous ceux qui le veulent de pouvoir quitter la lande », déclarait vendredi la ministre du Logement.

Aujourd’hui, les masques tombent. Nous n’aurons plus d’excuses pour ne pas voir ce qui se passe sous nos yeux. Dans un État de droit, l’État n’a pas tous les droits. La justice n’a pas délivré au gouvernement un permis de chasse contre les réfugiés. Partout, des voix se sont élevées pour exiger que s'organise l'accueil des personnes chassées de leurs pays en guerre ou dévastés. Ces voix ne vont pas se taire. Il faudra bien qu'on les entende. Rappelons-le : l’asile est un droit ; la répression des réfugiés est donc un déni de démocratie. 

Pour signer, envoyer un mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Premiers signataires (parmi ceux de l'appel Calais : Les bulldozers ne font pas une politique !)

Éric Fassin, professeur de science politique à l'université Paris VIII - Saint-Denis- Vincennes

Camille Louis, dramaturge, doctorante et enseignante en Philosophie à l'Université Paris 8

Étienne Tassin, agrégé, docteur en philosophie, titulaire d'une habilitation à diriger des recherches en lettres et sciences humaines

Les organisations : Actes et Cités; Auberge des migrants (Calais); Emmaüs France; Groupe d’information et de soutien des immigré.e.s - Gisti; Barcelona Accio Solidaria; RESF; Ecole laïque du Chemin des dunes; Tenons et mortaises; Conseil d'urgence citoyenne; LDH

+ OEE Réunion publique lundi 7 mars 2016,19h locaux Ligue des droits de l'homme-138 rue Marcadet, 75018 Paris
Les « zones grises » de l’enfermement des étrangers , Émergence de nouvelles formes de contrôle : l’exemple de Calais

L’observatoire de l’enfermement (OEE) vous invite à poursuivre la réflexion et le partage des informations sur les « zones grises » de l’enfermement.A la lisière des modes classiques d’enfermement se développent de nouvelles méthodes limitant les libertés, notamment celle d’aller et venir. Après s'être penché sur la pratique de l’assignation à résidence, l’OEE s'intéresse aux multiples facettes des tentatives d'invisibilisation des personnes étrangères qui se font jour dans le Calaisis : placement abusif et massif en centres de rétention ; dispersion de centaines de personnes vers des CAO (centres d’accueil et d’orientation), structures isolées, aux fonctions nouvelles ; contraintes spécifiques mises en place pour l'occupation des abris destinés aux exilé.e.s de la région ; règles extraordinaires de circulation et d'accès autour de la jungle de Calais...
Cette gestion fondée sur la coercition et l'émergence de nouvelles formes de contrôle et de privation de liberté doit être connue de celles et ceux qui défendent les droits des personnes étrangères.
Pour en parler, L’OEE vous invite à une réunion publique en présence de Nathanaël Caillaux (Plate-forme de Services aux Migrants, Calais) ; Cécilia Fall (volontaire Migreurop) et Jean-Pierre Alaux (GISTI), dont les interventions seront suivies d’un débat.

 
Lu 2066 fois Dernière modification le jeudi, 15 février 2018 11:18
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